Chaque année, l'on enregistre plus d'attaques vasculaires cérébrales. Mais à en croire le professeur Arezki, une approche strictement matérielle du phénomène ne suffit pas à elle seule pour le combattre. Chaque année, l'on enregistre plus d'attaques vasculaires cérébrales. Mais à en croire le professeur Arezki, une approche strictement matérielle du phénomène ne suffit pas à elle seule pour le combattre. «Chaque année, l'Algérie enregistre 60.000 nouveaux cas d'AVC causant le décès de 20.000 personnes, soit 4 à 5 fois plus le nombre de victimes des accidents de la circulation», a indiqué le professeur Arezki. Il a estimé, par ailleurs, que la prise en charge reste très insuffisante en Algérie. Cela est dû, selon lui, à un déficit en unités d'urgences spécialisées. Et d'ajouter que l'Algérie ne compte, pour l'instant, qu'une seule unité d'urgence cérébro-vasculaire dénommée Stroke Unit. Cette dernière est implantée à l'Hôpital universitaire de Blida. En comparaison, l'Egypte qui est un pays en voie de développement comme l'Algérie, compte 18 Stroke Unit.Le professeur Arezki suggère, ainsi la création d'unités Stroke au niveau des 13 CHU du pays. Un appareillage conséquent et assez bien réparti à travers le territoire national réduira considérablement le taux de mortalité par AVC dans notre pays. Il peut également participer à réduire les frais de prise en charge de certains malades qui, échappant à la mort, se retrouvent lourdement handicapé. Ceci pèsera sur la caisse nationale de sécurité sociale. La dotation des hôpitaux de ce genre d'appareils est d'autant plus vitale que la courbe des AVC en Algérie est ascendante par rapport aux autres pays arabes. C'est-à-dire que chaque année, l'on enregistre plus d'attaques vasculaire cérébrales. Mais à en croire le professeur Arezki, une approche strictement matérielle du phénomène ne suffit pas à elle seule pour le combattre. «Notre pays est obligé de réfléchir à une politique nationale de prévention pour la prise en charge de ces malades », soutient le professeur. Pour l'heure, les spécialistes algériens misent beaucoup sur les symposiums scientifiques pour déclencher le déclic nécessaire au niveau de la sphère politique aux fins de faire de la question des AVC l'une des priorités du Schéma directeur de la santé, adopté récemment en conseil du gouvernement. Ainsi, la prise en charge des accidents vasculaires cérébraux (AVC) a été au centre d'intérêt de la 9e conférence internationale de neurologie qui s'est tenue au Caire (Egypte). Placée sous l'égide de la fédération mondiale de neurologie, la rencontre qui a pris fin jeudi dernier a bordé des thèmes relatifs aux maladies qui affectent le cerveau. «Chaque année, l'Algérie enregistre 60.000 nouveaux cas d'AVC causant le décès de 20.000 personnes, soit 4 à 5 fois plus le nombre de victimes des accidents de la circulation», a indiqué le professeur Arezki. Il a estimé, par ailleurs, que la prise en charge reste très insuffisante en Algérie. Cela est dû, selon lui, à un déficit en unités d'urgences spécialisées. Et d'ajouter que l'Algérie ne compte, pour l'instant, qu'une seule unité d'urgence cérébro-vasculaire dénommée Stroke Unit. Cette dernière est implantée à l'Hôpital universitaire de Blida. En comparaison, l'Egypte qui est un pays en voie de développement comme l'Algérie, compte 18 Stroke Unit.Le professeur Arezki suggère, ainsi la création d'unités Stroke au niveau des 13 CHU du pays. Un appareillage conséquent et assez bien réparti à travers le territoire national réduira considérablement le taux de mortalité par AVC dans notre pays. Il peut également participer à réduire les frais de prise en charge de certains malades qui, échappant à la mort, se retrouvent lourdement handicapé. Ceci pèsera sur la caisse nationale de sécurité sociale. La dotation des hôpitaux de ce genre d'appareils est d'autant plus vitale que la courbe des AVC en Algérie est ascendante par rapport aux autres pays arabes. C'est-à-dire que chaque année, l'on enregistre plus d'attaques vasculaire cérébrales. Mais à en croire le professeur Arezki, une approche strictement matérielle du phénomène ne suffit pas à elle seule pour le combattre. «Notre pays est obligé de réfléchir à une politique nationale de prévention pour la prise en charge de ces malades », soutient le professeur. Pour l'heure, les spécialistes algériens misent beaucoup sur les symposiums scientifiques pour déclencher le déclic nécessaire au niveau de la sphère politique aux fins de faire de la question des AVC l'une des priorités du Schéma directeur de la santé, adopté récemment en conseil du gouvernement. Ainsi, la prise en charge des accidents vasculaires cérébraux (AVC) a été au centre d'intérêt de la 9e conférence internationale de neurologie qui s'est tenue au Caire (Egypte). Placée sous l'égide de la fédération mondiale de neurologie, la rencontre qui a pris fin jeudi dernier a bordé des thèmes relatifs aux maladies qui affectent le cerveau.