Une centaine d'étudiants ont pris part au rassemblement d'hier tenu malgré les «entraves» de leur administration, ceci en attendant d'organiser, prochainement, des actions plus musclées afin de faire aboutir leurs revendications. Une centaine d'étudiants ont pris part au rassemblement d'hier tenu malgré les «entraves» de leur administration, ceci en attendant d'organiser, prochainement, des actions plus musclées afin de faire aboutir leurs revendications. Pénalisés par la grève du Syndicat des professeurs hospitalo-universitaires, lancée depuis deux mois, les étudiants de la faculté de médecine d'Alger ont déclenché, l'après-midi d'hier, un mouvement de protestation dans l'enceinte de leur faculté pour «exiger la reprise des examens et des stages». Les cours continuent à être dispensés, mais les examens et les stages, assurés par les enseignants affiliés au syndicat sont, pour rappel, bloqués depuis le déclenchement de la grève. Une centaine d'étudiants ont pris part au rassemblement d'hier, tenu malgré les «entraves» de leur administration, ceci en attendant d'organiser, prochainement, des actions plus musclées afin de faire aboutir leurs revendications. «Nous n'acceptons plus cette situation dont nous sommes les plus pénalisés (…), nous appelons les pouvoirs publics à se pencher sérieusement sur nos problèmes», dénonce une étudiante ayant pris la parole sur la tribune devant ses camarades. Les étudiants dénoncent, énergiquement, le fait que les professeurs aient décidé, en guise de protestation, de ne pas organiser les examens. Hier à l'entrée de la faculté les étudiants avaient l'air décidés à mettre fin à cette situation qui les pénalise grandement. Ils ne veulent pas attendre l'issue aléatoire de la grève de leurs professeurs pour enfin passer leurs examens. «La mobilisation des étudiants pour dénoncer le blocage est plus que nécessaire, nous voudrions finir notre année universitaire à temps…», nous dira Hakim, étudiant en quatrième année de médecine. Malgré les multiples manifestations des étudiants à travers le territoire national, dénonçant la grève, le Syndicat des professeurs demeure, aussi déterminé à maintenir sa pression et à poursuivre son mouvement de protestation, cela tant que leurs revendications socio-professionnelles ne seront pas prises en charge, comme l'affirme au Midi Libre le secrétaire général du syndicat M. Djijli, joint hier par téléphone. Pénalisés par la grève du Syndicat des professeurs hospitalo-universitaires, lancée depuis deux mois, les étudiants de la faculté de médecine d'Alger ont déclenché, l'après-midi d'hier, un mouvement de protestation dans l'enceinte de leur faculté pour «exiger la reprise des examens et des stages». Les cours continuent à être dispensés, mais les examens et les stages, assurés par les enseignants affiliés au syndicat sont, pour rappel, bloqués depuis le déclenchement de la grève. Une centaine d'étudiants ont pris part au rassemblement d'hier, tenu malgré les «entraves» de leur administration, ceci en attendant d'organiser, prochainement, des actions plus musclées afin de faire aboutir leurs revendications. «Nous n'acceptons plus cette situation dont nous sommes les plus pénalisés (…), nous appelons les pouvoirs publics à se pencher sérieusement sur nos problèmes», dénonce une étudiante ayant pris la parole sur la tribune devant ses camarades. Les étudiants dénoncent, énergiquement, le fait que les professeurs aient décidé, en guise de protestation, de ne pas organiser les examens. Hier à l'entrée de la faculté les étudiants avaient l'air décidés à mettre fin à cette situation qui les pénalise grandement. Ils ne veulent pas attendre l'issue aléatoire de la grève de leurs professeurs pour enfin passer leurs examens. «La mobilisation des étudiants pour dénoncer le blocage est plus que nécessaire, nous voudrions finir notre année universitaire à temps…», nous dira Hakim, étudiant en quatrième année de médecine. Malgré les multiples manifestations des étudiants à travers le territoire national, dénonçant la grève, le Syndicat des professeurs demeure, aussi déterminé à maintenir sa pression et à poursuivre son mouvement de protestation, cela tant que leurs revendications socio-professionnelles ne seront pas prises en charge, comme l'affirme au Midi Libre le secrétaire général du syndicat M. Djijli, joint hier par téléphone.