Des troupes nationales, tunisiennes, marocaines, ainsi qu'une formation libyenne participeront à la seconde édition des journées théâtrales maghrébines qui ont été inaugurées, avant-hier, au Théâtre régional de Batna. Une grande émotion s'est installée dans la salle d'autant que cette manifestation se déroule 21 ans après la première édition. Des troupes nationales, tunisiennes, marocaines, ainsi qu'une formation libyenne participeront à la seconde édition des journées théâtrales maghrébines qui ont été inaugurées, avant-hier, au Théâtre régional de Batna. Une grande émotion s'est installée dans la salle d'autant que cette manifestation se déroule 21 ans après la première édition. Des personnalités du 4e art maghrébin, en l'occurrence le dramaturge et critique marocain Abdellatif Berrechid, l'homme de théâtre Salah Lombarkia, premier directeur du Théâtre de Batna et le Dr Noureddine Amroune, metteur en scène, ont été honorés à l'occasion de la cérémonie d'ouverture de cette manifestation culturelle. La pièce d'El Qadi El Dhilaa (le juge de l'ombre), mise en scène par Hacene Boubrioua sur un texte de Abdellatif Laâbi (Maroc), interprétée par la troupe du Théâtre régional de Batna, a donné le coup d'envoi de ces journées qui se poursuivront jusqu'au 28 juin prochain avec la participation de troupes nationales, tunisiennes, marocaines, ainsi qu'une formation libyenne. Cette manifestation, "permettra de renforcer les liens entre dramaturges et comédiens maghrébins" et de "favoriser l'échange d'expériences, y compris avec les troupes locales de théâtre amateur", a indiqué le directeur du Théâtre régional de Batna, Mohamed Yahiaoui. Il a relevé que ces 2èmes journées maghrébines dédiées au 4e art "coïncident avec la réouverture des locaux du théâtre, après deux années de fermeture pour des travaux de restauration de cette construction centenaire". M. Yahiaoui a rappelé que ce joyau architectural, construit en 1870, a fait l'objet de nombreuses restaurations, occasionnant des fermetures fréquentes, ce qui "explique en partie", selon lui, l'écart de 21 ans entre la première et la seconde édition des Journées théâtrales maghrébines. De son côté, le Libyen Lamine Hamane, metteur en scène a affirmé que la participation de son pays constitue "une première expérience en Algérie". Elle vise, selon lui, à "encourager le développement du théâtre dans sa dimension maghrébine", celle-ci demeurant "à l'état embryonnaire", a-t-il estimé. Les représentations théâtrales alterneront avec des conférences au cours desquelles seront notamment débattus les thèmes "Les réalités maghrébines du théâtre", "La place du patrimoine dans la création théâtrale" ou encore "Le théâtre entre la création et l'adaptation". Des personnalités du 4e art maghrébin, en l'occurrence le dramaturge et critique marocain Abdellatif Berrechid, l'homme de théâtre Salah Lombarkia, premier directeur du Théâtre de Batna et le Dr Noureddine Amroune, metteur en scène, ont été honorés à l'occasion de la cérémonie d'ouverture de cette manifestation culturelle. La pièce d'El Qadi El Dhilaa (le juge de l'ombre), mise en scène par Hacene Boubrioua sur un texte de Abdellatif Laâbi (Maroc), interprétée par la troupe du Théâtre régional de Batna, a donné le coup d'envoi de ces journées qui se poursuivront jusqu'au 28 juin prochain avec la participation de troupes nationales, tunisiennes, marocaines, ainsi qu'une formation libyenne. Cette manifestation, "permettra de renforcer les liens entre dramaturges et comédiens maghrébins" et de "favoriser l'échange d'expériences, y compris avec les troupes locales de théâtre amateur", a indiqué le directeur du Théâtre régional de Batna, Mohamed Yahiaoui. Il a relevé que ces 2èmes journées maghrébines dédiées au 4e art "coïncident avec la réouverture des locaux du théâtre, après deux années de fermeture pour des travaux de restauration de cette construction centenaire". M. Yahiaoui a rappelé que ce joyau architectural, construit en 1870, a fait l'objet de nombreuses restaurations, occasionnant des fermetures fréquentes, ce qui "explique en partie", selon lui, l'écart de 21 ans entre la première et la seconde édition des Journées théâtrales maghrébines. De son côté, le Libyen Lamine Hamane, metteur en scène a affirmé que la participation de son pays constitue "une première expérience en Algérie". Elle vise, selon lui, à "encourager le développement du théâtre dans sa dimension maghrébine", celle-ci demeurant "à l'état embryonnaire", a-t-il estimé. Les représentations théâtrales alterneront avec des conférences au cours desquelles seront notamment débattus les thèmes "Les réalités maghrébines du théâtre", "La place du patrimoine dans la création théâtrale" ou encore "Le théâtre entre la création et l'adaptation".