La mère du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, s'est éteinte pendant la nuit de dimanche à lundi en son domicile à Alger, à l'âge de 90 ans. L'enterrement a en lieu, hier, en début d'après-midi après la prière d'«el asr» au cimetière de Ben-Aknoun. La mère du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, s'est éteinte pendant la nuit de dimanche à lundi en son domicile à Alger, à l'âge de 90 ans. L'enterrement a en lieu, hier, en début d'après-midi après la prière d'«el asr» au cimetière de Ben-Aknoun. Tout indiquait que la santé de la défunte s'est subitement dégradée ces derniers jours et c'est ce qui expliquerait, sans doute, l'absence du président de la République à la cérémonie d'ouverture officielle du deuxième Festival culturel africain, avant-hier en début de soirée à la salle omnisports du complexe Mohamed-Boudiaf, où il devait prononcer un discours donnant le feu vert au début des festivités. Il faut dire que l'attachement du chef de l'Etat à sa défunte mère était connu de tous. En effet, d'aucuns savent qu'il lui voue un immense respect et un amour profond. Et d'ailleurs, comme le rapportent ses plus proches, il lui rendait visite presque quotidiennement. On comprend dès lors le pourquoi de cette profonde tristesse qui se lisait sur son visage hier au cimetière alors qu'il était entouré de ses plus proches, notamment ses frères. Il y avait une grande foule au cimetière de Ben-Aknoun. Tout ce que compte Alger comme officiels et personnalités civiles et militaires, a assisté à la mise en terre de la défunte. Feue Bouteflika Mansouriah, née Ghezlaoui s'est, selon divers témoignages, durant toute sa vie dévouée à l'éducation de ses enfants, en leur inculquant dès leur jeune âge les véritables valeurs humaines. D'ailleurs le président Bouteflika, n'a jamais dissimulé le fait de porter en sa plus profonde personne les «directives» prodiguées par la «cajoleuse» maman qui s'avèrent être d'authentiques guides de toute une vie. «Yaya» comme aimaient à l'appeler les siens représentait la fierté du président Bouteflika tout comme de tous ses autres enfants. D'ailleurs le respect que voue aujourd'hui le chef de l'Etat au rôle de la femme algérienne et surtout à sa place dans la société algérienne il la tient, avant tout, de sa mère. «Il n'y pas un seul homme qu'une femme ne commande, y compris moi», revendiquait-il avec fierté dans l'un de ses discours en faisant justement allusion à sa propre mère. D'autant plus qu'il avait pris pour habitude de la consulter sur toutes ses entreprises, aussi minimes soient-elles, en insistant pour avoir son consentement. L'essentiel pour lui était de recherche «Rédha El walidine» (la bénédiction des parents, NDLR), qui n'était pas un vain mot pour lui. Tout indiquait que la santé de la défunte s'est subitement dégradée ces derniers jours et c'est ce qui expliquerait, sans doute, l'absence du président de la République à la cérémonie d'ouverture officielle du deuxième Festival culturel africain, avant-hier en début de soirée à la salle omnisports du complexe Mohamed-Boudiaf, où il devait prononcer un discours donnant le feu vert au début des festivités. Il faut dire que l'attachement du chef de l'Etat à sa défunte mère était connu de tous. En effet, d'aucuns savent qu'il lui voue un immense respect et un amour profond. Et d'ailleurs, comme le rapportent ses plus proches, il lui rendait visite presque quotidiennement. On comprend dès lors le pourquoi de cette profonde tristesse qui se lisait sur son visage hier au cimetière alors qu'il était entouré de ses plus proches, notamment ses frères. Il y avait une grande foule au cimetière de Ben-Aknoun. Tout ce que compte Alger comme officiels et personnalités civiles et militaires, a assisté à la mise en terre de la défunte. Feue Bouteflika Mansouriah, née Ghezlaoui s'est, selon divers témoignages, durant toute sa vie dévouée à l'éducation de ses enfants, en leur inculquant dès leur jeune âge les véritables valeurs humaines. D'ailleurs le président Bouteflika, n'a jamais dissimulé le fait de porter en sa plus profonde personne les «directives» prodiguées par la «cajoleuse» maman qui s'avèrent être d'authentiques guides de toute une vie. «Yaya» comme aimaient à l'appeler les siens représentait la fierté du président Bouteflika tout comme de tous ses autres enfants. D'ailleurs le respect que voue aujourd'hui le chef de l'Etat au rôle de la femme algérienne et surtout à sa place dans la société algérienne il la tient, avant tout, de sa mère. «Il n'y pas un seul homme qu'une femme ne commande, y compris moi», revendiquait-il avec fierté dans l'un de ses discours en faisant justement allusion à sa propre mère. D'autant plus qu'il avait pris pour habitude de la consulter sur toutes ses entreprises, aussi minimes soient-elles, en insistant pour avoir son consentement. L'essentiel pour lui était de recherche «Rédha El walidine» (la bénédiction des parents, NDLR), qui n'était pas un vain mot pour lui.