Un réunion a regroupé, mardi dernier, le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa, et les aviculteurs afin de discuter des voies et des moyens permettant d'organiser la filière avicole jusque-là livrée à elle-même alors que la filière lait a fait l'objet d'une réorganisation, qui laisse entrevoir une sortie de crise, selon la cellule de communication du ministère. Contacté hier, le responsable du service communication nous a affirmé que la rencontre entre les différents intervenants de la filière avicole s'est notamment articulée autour de l'ordonnancement de la profession d'aviculteur afin de mettre de l'ordre dans ce secteur mal en point, ces derniers temps, en raison de l'anarchie qui y régne. «La réunion qui s'est déroulée avant-hier entre le ministre de l'Agriculture et les différents acteurs de la filière avicole, les industriels, les investisseurs et les producteurs, ainsi que les propriétaires d'abattoirs consiste à réorganiser la filière avicole, sachant que tout le monde travaille en rangs dispersés», nous a affirmé le responsable de la cellule de communication. Il estime également que l'essentiel est d'organiser méthodiquement cette filière en précisant que «le but primordial de cette rencontre vise l'organisation de la filière et de trouver un terrain d'entente entre les différents acteurs afin d'organiser le domaine d'activités de ce secteur, assurer, ainsi, une production et arranger le consommateur qui va acheter le poulet ou les œufs à un prix raisonnable et encourager également les producteurs et les différents intervenants dans la filière». L'autre objectif recherché par les aviculteurs réside dans l'optimisation des gains, c'est-à-dire éviter les pertes sèches. Notre interlocuteur ajoute que «c'est la première réunion qui a eu lieu entre les deux parties et qui sera suivie d'autres réunions dans les prochains mois car les aviculteurs veulent s'organiser entre eux d'abord au niveau des wilayas concernées. Ensuite, ils vont avoir des rencontres avec le ministre au cours desquelles sera installé le conseil national de la filière». Les modalités à même d'améliorer la production avicole en matière de poulet de chair ou des œufs ont été également décortiquées au cours de cette réunion. «C'est la mauvaise organisation de la filière qui a fait que le prix du poulet a augmenté. Une fois que la filière sera organisée, tout ira bien. C'est comme la filière lait, actuellement, il n'y a pratiquement pas de crise de lait car il y a un véritable comité interprofessionnel du lait qui a regroupé l'ONIL. Donc, il y a l'office et le comité. Nous allons prendre le même exemple sachant que la filière lait a réussi» a-t-il souligné. La transposition de cette forme de succès sera généralisée à d'autres filières du secteur de l'agriculture, selon le ministère. La filière de la pomme de terre, qui a connu une augmentation de prix de l'ordre de 15 %, a été récemment organisée, «nous avons donc un objectif à atteindre, à savoir la production de 30 millions de quintaux». Le premier problème de la filière avicole est, donc, incontestablement, celui de la "mal organisation" du secteur, a-t-il dit, précisant : «nous sommes sortis avec des résultats positifs en ce sens que c'est tout le monde qui s'est entendu à s'organiser. Une concertation a permis de mettre en accord l'ensemble des acteurs du secteur avicole afin d'organiser la filière». A présent, les prix de la volaille (poulet notamment) sont relativement excessifs et cela dépend des régions, a-t-on affirmé au ministère de l'Agriculture. Mais, l'inconvénient, c'est la mauvaise organisation qui fait que les spéculateurs sévissent. Le spéculateur est le principal responsable de la hausse des prix. Un réunion a regroupé, mardi dernier, le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa, et les aviculteurs afin de discuter des voies et des moyens permettant d'organiser la filière avicole jusque-là livrée à elle-même alors que la filière lait a fait l'objet d'une réorganisation, qui laisse entrevoir une sortie de crise, selon la cellule de communication du ministère. Contacté hier, le responsable du service communication nous a affirmé que la rencontre entre les différents intervenants de la filière avicole s'est notamment articulée autour de l'ordonnancement de la profession d'aviculteur afin de mettre de l'ordre dans ce secteur mal en point, ces derniers temps, en raison de l'anarchie qui y régne. «La réunion qui s'est déroulée avant-hier entre le ministre de l'Agriculture et les différents acteurs de la filière avicole, les industriels, les investisseurs et les producteurs, ainsi que les propriétaires d'abattoirs consiste à réorganiser la filière avicole, sachant que tout le monde travaille en rangs dispersés», nous a affirmé le responsable de la cellule de communication. Il estime également que l'essentiel est d'organiser méthodiquement cette filière en précisant que «le but primordial de cette rencontre vise l'organisation de la filière et de trouver un terrain d'entente entre les différents acteurs afin d'organiser le domaine d'activités de ce secteur, assurer, ainsi, une production et arranger le consommateur qui va acheter le poulet ou les œufs à un prix raisonnable et encourager également les producteurs et les différents intervenants dans la filière». L'autre objectif recherché par les aviculteurs réside dans l'optimisation des gains, c'est-à-dire éviter les pertes sèches. Notre interlocuteur ajoute que «c'est la première réunion qui a eu lieu entre les deux parties et qui sera suivie d'autres réunions dans les prochains mois car les aviculteurs veulent s'organiser entre eux d'abord au niveau des wilayas concernées. Ensuite, ils vont avoir des rencontres avec le ministre au cours desquelles sera installé le conseil national de la filière». Les modalités à même d'améliorer la production avicole en matière de poulet de chair ou des œufs ont été également décortiquées au cours de cette réunion. «C'est la mauvaise organisation de la filière qui a fait que le prix du poulet a augmenté. Une fois que la filière sera organisée, tout ira bien. C'est comme la filière lait, actuellement, il n'y a pratiquement pas de crise de lait car il y a un véritable comité interprofessionnel du lait qui a regroupé l'ONIL. Donc, il y a l'office et le comité. Nous allons prendre le même exemple sachant que la filière lait a réussi» a-t-il souligné. La transposition de cette forme de succès sera généralisée à d'autres filières du secteur de l'agriculture, selon le ministère. La filière de la pomme de terre, qui a connu une augmentation de prix de l'ordre de 15 %, a été récemment organisée, «nous avons donc un objectif à atteindre, à savoir la production de 30 millions de quintaux». Le premier problème de la filière avicole est, donc, incontestablement, celui de la "mal organisation" du secteur, a-t-il dit, précisant : «nous sommes sortis avec des résultats positifs en ce sens que c'est tout le monde qui s'est entendu à s'organiser. Une concertation a permis de mettre en accord l'ensemble des acteurs du secteur avicole afin d'organiser la filière». A présent, les prix de la volaille (poulet notamment) sont relativement excessifs et cela dépend des régions, a-t-on affirmé au ministère de l'Agriculture. Mais, l'inconvénient, c'est la mauvaise organisation qui fait que les spéculateurs sévissent. Le spéculateur est le principal responsable de la hausse des prix.