La récente perturbation atmosphérique qui a affecté le nord du pays, particulièrement au cours du deuxième jour de l'Aïd, a provoqué, selon la Protection civile, des inondations dans plusieurs communes de la wilaya de Chlef et des débordements d'oueds. Ces pluies, parfois sous forme d'averses orageuses, ont été plus importantes dans les trois communes côtières à savoir La Marsa, El-Guelta et Sidi-Abderrahmane. Selon la Protection civile, les importantes précipitations qui se sont abattues au cours de cette journée ont provoqué des inondations dans plusieurs quartiers de ces trois villes. Sur les lieux, les sapeurs pompiers et des équipes d'ouvriers des deux communes ont dû intervenir pour évacuer des familles particulièrement celles dont les habitations sont construites sur les berges des oueds. De même des infiltrations d'eau ont été signalées dans les habitations et les édifices publics. La circulation a été interrompue momentanément suite à cet épisode pluvieux. A titre d'exemple, à Sidi-Abderrahmane, une localité située à une cinquantaine de kilomètres de Ténès, c'est l'oued Seffah qui présente la plus grande menace pour les habitants du fait que le lit de cet oued se trouve à peine à deux mètres des maisons. Il faut dire qu'à chaque fois qu'un BMS (Bulletin météo spécial) est émis, les riverains de l'oued Seffah préfèrent quitter leurs maisons pour se réfugier chez des proches. Par ailleurs, la Protection civile ne déplore heureusement aucune victime parmi les citoyens qui, faut-il le rappeler, ont connu des inondations similaires l'année passée. Selon la Protection civile, les inondations survenues sont dues principalement au mauvais état du réseau d'évacuation des eaux pluviales et aux constructions d'habitations dans des zones à haut risque. A ce sujet, faut-il le rappeler, lors de sa dernière visite dans la région, le wali avait donné des instructions aux présidents des APC pour qu'ils entament les travaux de nettoyage et de débouchage du réseau d'évacuation avant la saison hivernale, et d'interdire toute nouvelle construction sur les berges des oueds La récente perturbation atmosphérique qui a affecté le nord du pays, particulièrement au cours du deuxième jour de l'Aïd, a provoqué, selon la Protection civile, des inondations dans plusieurs communes de la wilaya de Chlef et des débordements d'oueds. Ces pluies, parfois sous forme d'averses orageuses, ont été plus importantes dans les trois communes côtières à savoir La Marsa, El-Guelta et Sidi-Abderrahmane. Selon la Protection civile, les importantes précipitations qui se sont abattues au cours de cette journée ont provoqué des inondations dans plusieurs quartiers de ces trois villes. Sur les lieux, les sapeurs pompiers et des équipes d'ouvriers des deux communes ont dû intervenir pour évacuer des familles particulièrement celles dont les habitations sont construites sur les berges des oueds. De même des infiltrations d'eau ont été signalées dans les habitations et les édifices publics. La circulation a été interrompue momentanément suite à cet épisode pluvieux. A titre d'exemple, à Sidi-Abderrahmane, une localité située à une cinquantaine de kilomètres de Ténès, c'est l'oued Seffah qui présente la plus grande menace pour les habitants du fait que le lit de cet oued se trouve à peine à deux mètres des maisons. Il faut dire qu'à chaque fois qu'un BMS (Bulletin météo spécial) est émis, les riverains de l'oued Seffah préfèrent quitter leurs maisons pour se réfugier chez des proches. Par ailleurs, la Protection civile ne déplore heureusement aucune victime parmi les citoyens qui, faut-il le rappeler, ont connu des inondations similaires l'année passée. Selon la Protection civile, les inondations survenues sont dues principalement au mauvais état du réseau d'évacuation des eaux pluviales et aux constructions d'habitations dans des zones à haut risque. A ce sujet, faut-il le rappeler, lors de sa dernière visite dans la région, le wali avait donné des instructions aux présidents des APC pour qu'ils entament les travaux de nettoyage et de débouchage du réseau d'évacuation avant la saison hivernale, et d'interdire toute nouvelle construction sur les berges des oueds