Comme dans toutes les villes et localités du pays, le football est incontestablement le sport roi à Cherchell, cette importante ville du littoral ouest de la wilaya de Tipasa. Un intérêt qui porte, plus précisément, sur le parcours du club local, l'emblématique Mouloudia de Cherchell. Comme dans toutes les villes et localités du pays, le football est incontestablement le sport roi à Cherchell, cette importante ville du littoral ouest de la wilaya de Tipasa. Un intérêt qui porte, plus précisément, sur le parcours du club local, l'emblématique Mouloudia de Cherchell. Le projet de réalisation du nouveau stade de la ville, implanté à Oued El Hammam, à Cherchell dans la wilaya de Tipasa fait couler beaucoup d'encre et de salive. Déjà qu'un retard sur les délais initiaux a été enregistré. Le mur de soutènement est toujours en cours d'édification et ce, nous a-t-on dit, « presque une année après que les travaux eurent débuté…». Pour avoir une idée assez précise du retard pris par la réalisation de cette importante infrastructure sportive, inscrite dans le cadre du PCD (Programme communal de développement), il faut savoir que les travaux de terrassement du site où elle est implantée ont été officiellement lancés dans le courant de l'année 2007. Et à propos de ces travaux, il semble qu'ils n'aient pas été menés dans le respect de la réglementation en vigueur. C'est, du moins, ce que nous ont déclaré des responsables du club de Cherchell qui attendent avec impatience la réalisation de cette infrastructure qui pourrait être bénéfique quant à la préservation de l'histoire de leur club qui s'entraîne dans des conditions très difficiles. L'ancien stade de football dans un état lamentable Comme dans toutes les villes et localités du pays, le football est incontestablement le sport roi à Cherchell, cette importante ville du littoral ouest de la wilaya de Tipasa. Presque tout le monde s'y intéresse, en effet. Un intérêt qui porte, plus précisément, sur le parcours du club local, l'emblématique Mouloudia de Cherchell. Emblématique surtout par son glorieux passé qui l'a fait surnommer "le club aux 16 martyrs". En effet, à l'appel du FLN, le club avait, en 1956, cessé toute activité et tous les éléments de son équipe seniors et certains de ses dirigeants avaient alors rejoint le maquis où seize d'entre eux sont tombés au champ d'honneur. Mais actuellement, en matière de parcours, il faut dire que depuis plusieurs saisons maintenant, c'est loin d'être…fameux. Parmi les raisons à l'origine de cette situation figure, en bonne place, nous a déclaré M. Fodil Imekraz, président du CSA/MS Cherchell, « l'état désastreux dans lequel se trouve le stade communal » ; une infrastructure qui a été réalisée dans les années 70 et qui, au fil des ans, a fini par perdre son lustre d'antan. Notamment, en ce qui concerne l'état de son terrain, en tuf, faut-il le préciser, dont il ne reste plus qu'une mince couche. Ce qui a fait dire au vice-président du CSA/MSC, M. Sid Ali Aïssou : « Nos joueurs n'évoluent plus sur une aire de football, mais dans un terrain accidenté où de nombreuses pierres constituent un facteur de blessures permanent». Même les vestiaires se trouvent dans un pitoyable état : pas de robinets, WC bouchés, certains avec du béton pour, semble-t-il, éviter la remontée des eaux usées qui engendre une présence quasi permanente d'odeurs nauséabondes. Pour toutes ces raisons, la livraison du nouveau stade constituera un tremplin pour l'équipe de Cherchell pour repartir d'un bon pied et retrouver les sensations d'antan. Le projet de réalisation du nouveau stade de la ville, implanté à Oued El Hammam, à Cherchell dans la wilaya de Tipasa fait couler beaucoup d'encre et de salive. Déjà qu'un retard sur les délais initiaux a été enregistré. Le mur de soutènement est toujours en cours d'édification et ce, nous a-t-on dit, « presque une année après que les travaux eurent débuté…». Pour avoir une idée assez précise du retard pris par la réalisation de cette importante infrastructure sportive, inscrite dans le cadre du PCD (Programme communal de développement), il faut savoir que les travaux de terrassement du site où elle est implantée ont été officiellement lancés dans le courant de l'année 2007. Et à propos de ces travaux, il semble qu'ils n'aient pas été menés dans le respect de la réglementation en vigueur. C'est, du moins, ce que nous ont déclaré des responsables du club de Cherchell qui attendent avec impatience la réalisation de cette infrastructure qui pourrait être bénéfique quant à la préservation de l'histoire de leur club qui s'entraîne dans des conditions très difficiles. L'ancien stade de football dans un état lamentable Comme dans toutes les villes et localités du pays, le football est incontestablement le sport roi à Cherchell, cette importante ville du littoral ouest de la wilaya de Tipasa. Presque tout le monde s'y intéresse, en effet. Un intérêt qui porte, plus précisément, sur le parcours du club local, l'emblématique Mouloudia de Cherchell. Emblématique surtout par son glorieux passé qui l'a fait surnommer "le club aux 16 martyrs". En effet, à l'appel du FLN, le club avait, en 1956, cessé toute activité et tous les éléments de son équipe seniors et certains de ses dirigeants avaient alors rejoint le maquis où seize d'entre eux sont tombés au champ d'honneur. Mais actuellement, en matière de parcours, il faut dire que depuis plusieurs saisons maintenant, c'est loin d'être…fameux. Parmi les raisons à l'origine de cette situation figure, en bonne place, nous a déclaré M. Fodil Imekraz, président du CSA/MS Cherchell, « l'état désastreux dans lequel se trouve le stade communal » ; une infrastructure qui a été réalisée dans les années 70 et qui, au fil des ans, a fini par perdre son lustre d'antan. Notamment, en ce qui concerne l'état de son terrain, en tuf, faut-il le préciser, dont il ne reste plus qu'une mince couche. Ce qui a fait dire au vice-président du CSA/MSC, M. Sid Ali Aïssou : « Nos joueurs n'évoluent plus sur une aire de football, mais dans un terrain accidenté où de nombreuses pierres constituent un facteur de blessures permanent». Même les vestiaires se trouvent dans un pitoyable état : pas de robinets, WC bouchés, certains avec du béton pour, semble-t-il, éviter la remontée des eaux usées qui engendre une présence quasi permanente d'odeurs nauséabondes. Pour toutes ces raisons, la livraison du nouveau stade constituera un tremplin pour l'équipe de Cherchell pour repartir d'un bon pied et retrouver les sensations d'antan.