El Japonais, chanteur interdit de son état, nous fait un truc qui relève de la comédie italienne. Il dénoue le casse-tête chinois en disant, en javanais dialectal et franc du collier, que ses censeurs ont raison de le censurer. Propagé par le téléphone arabe, ça en devient du latin, articulé par une tête de Turc assisté d'un pâtre grec. On a oublié quelqu'un ? A. T. [email protected]