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L'ultralibéralisme, une violence sociale
LES CONSEQUENCES NEGATIVES DE LA DECONSIDERATION DU SAVOIR
Publié dans Le Soir d'Algérie le 08 - 09 - 2020


Par Bourai Ali(*)
L'ultralibéralisme, toujours dévoré par la fièvre du gain et de la rapine, s'adapte aux situations d'urgence du marché en maniant, avec une extraordinaire habileté, le mécanisme capitaliste. Il entraîne dans la tourmente tous les pays qui s'adossent à lui. Ses directives et conseils inadaptés aux intérêts des peuples s'imposent au pays qui ne saura pas fixer ses propres règles de bonne gestion, adaptées à ses particularités sociales. La séduction des capitaux spéculatifs étrangers ne peut être la solution alternative aux difficultés du pays.
L'optimisme béat survalorisé par une couverture médiatique enthousiaste empêche toute recherche de l'efficacité. Un préjudice à l'équilibre psychologique de la population. Les deux polarités de la vie que sont l'optimisme, ce moteur qui donne l'élan pour aller de l'avant, et le pessimisme, ce ralentisseur qui permet de débusquer les obstacles, doivent être perçues à leur juste valeur. À l'excès l'un mène à la dérive et l'autre à la paralysie ou à la dépression mentale.
Tout produit mis sur le marché est accompagné d'instructions d'utilisation et d'entretien établies par le concepteur/fabricant. Personne n'est apte à le faire à sa place, surtout dans le domaine médical. Les consommateurs, par nécessité/obligation respectent scrupuleusement toutes les recommandations pour le meilleur profit.
C'est dans ce cadre que Dieu, Le Créateur, a décrit la conception et le comportement humain dans ses moindres détails. Cette diversité humaine, nombreuse et complexe, est prescrite dans la Charte de l'humanité. Elle est très utile pour celui qui ne veut pas se perdre dans les méandres de la vie. Elle est l'instrument de navigation qui permet à la personne d'atteindre sa destination sans encombre comme le fait, si bien, le pilote d'avion qui, se trouvant dans l'espace sans repère apparent, trouve sa direction ou tel un télescope, pour apercevoir ce qui est lointain.
Une société ne peut évoluer valablement que dans son espace, propre à ses particularités communautaires. Ce que le cardinal Lavigerie n'avait pas compris, sa tentative de pacifier le peuple en pénétrant le socle social algérien sous l'angle du caritatif/éducatif par le biais des pères blancs a été un échec. Celui qui voulait prendre nos terres en nous donnant sa Bible plutôt ses Bibles en contrepartie, pour aller au paradis le ventre creux.
Confiner le peuple dans ses conditions précaires, le détourner des richesses du pays par une alphabétisation basique de quelques enfants de ceux qui lui ont fait allégeance ne l'a pas écarté de sa vision de libération parce qu'il sait très bien que la bienfaisance n'a jamais éradiqué la pauvreté. Un chantier d'apparence social mais éminemment politique et mortel.
Ce qui apparaissait en surface ne reflétait pas les profondeurs. Aucune dictature ne peut contrer une volonté populaire majoritaire structurée par le nationalisme et la religion.
De plus, la scolarité au plus haut est limitée au cours de fin d'études, l'équivalent du primaire actuel, juste le niveau qui permet l'apprentissage d'un métier manuel dans le bâtiment, pénible aux enfants des colons qui baignent dans l'odeur de l'aisance.
À sa mort, pour services rendus, des funérailles nationales lui ont été organisées. Une même philosophie que les Pères Pilgrims Fathers, Anglais, partis en Amérique pacifier les peuples autochtones indiens, finalement presque exterminés. Beaucoup de présidents des Etats-Unis sont de la descendance de ces Pères.
La jeunesse algérienne doit honorer, par la création de la valeur et non par la consommation de la richesse du sous-sol, le sacrifice incommensurable du peuple dans son ensemble, pour le recouvrement de l'indépendance. Difficile pour les jeunes d'aujourd'hui de percevoir et comprendre les difficultés du passé. L'abondance de la richesse extraite du sous-sol a favorisé le déclin de l'ambition et de la spiritualité. Ce que l'Occident exploite sans retenue et veut que cela perdure. Bien plus, il agit de façon sournoise à cela.
La mère patrie impose de la considération
En 132 ans de colonisation, la population algérienne, confinée dans des conditions dégradantes à tous les niveaux, n'a même pas triplé. En moins de 60 ans d'indépendance, elle s'est multipliée par cinq, une espérance de vie supérieure avec un standing incomparable, des universitaires par millions malgré certaines insuffisances quoique logique à la sortie d'une domination aussi longue et cruelle. La comparaison entre les méfaits de la colonisation et les bienfaits de l'indépendance en attendant de la confirmer par la souveraineté est à méditer.
Le potentiel humain qui faisait défaut au lendemain du recouvrement de la citoyenneté est disponible en quantité et qualité pour surmonter toutes les difficultés au profit d'un meilleur avenir dont les clefs se trouvent dans la particularité de notre modèle social spécifique. Il faut s'abreuver des réflexions intelligentes locales pour revaloriser le potentiel existant par un investissement adéquat. Se projeter dans la vision de l'avenir, de ce monde nouveau qui pointe à l'horizon, pas clément du tout, est une nécessité majeure. Il faut se méfier de l'effet boomerang des attitudes qui sèment la confusion dans l'esprit des gens.
La maîtrise de l'Histoire est essentielle pour la définition du concept stratégique futur. C'est ce déni qui a été la cause de la débâcle égyptienne face à Israël en juin 1967 et octobre 1973. Des défaites humiliantes et très coûteuses aux Arabes, surtout pour l'Algérie à une période cruciale. Notre engagement pour la cause palestinienne était l'un des plus sincères contrairement à beaucoup d'autres pays, y compris l'Egypte elle-même. En voulant trop monter dans la hauteur, pour un ego personnel, sur le dos d'une cause sacrée, la chute a été terrible. Celui qui néglige la raison bascule dans la folie.
Dommage pour nos pertes, humaines et matérielles, à un moment malvenu. Un abus de confiance impardonnable car l'esprit d'expansion prévalait sur celui de la libération.
Une défaite cinglante, certes, mais qui a préservé la Palestine de la dislocation de son entité physique. Il y a des évènements qu'on perçoit mal au moment de leur survenance parce qu'on ne saisit par leur sens véritable. C'est par la lecture et l'écriture que l'homme se sépare des autres créatures et augmente son degré d'attention pour mieux gérer sa vie. La force de l'homme se trouve dans sa conscience.
À la source de chaque échec, c'est une mauvaise intention. Les injustes ne prospèrent jamais et le mal est une toxine qui empoisonne tous ses adeptes. Tout individu a le devoir de soigner l'honneur de sa famille par des attitudes positives quelle que soit la complexité de la situation afin que le paradis éphémère ne se transforme en un purgatoire éternel.
La famille et la patrie sont dans le même ordre, elles méritent de l'attention. Pour progresser, il faut connaître son sujet car l'inconnu fait peur.
Un investissement sain de surcroît pour une cause juste, sacrée telle la Palestine, est toujours rentable avec effet au long terme. L'Algérie, par son comportement sincère avec son environnement immédiat, est dans une sérénité totale, sa position honorable dans la crise libyenne lui offre un atout considérable pour promouvoir la solution idéale à ce peuple meurtri par les convoitises extérieures perverses.
L'incompétence détruit l'équilibre psychologique
Le président Ali Abdallah Saleh a, en 40 ans, conduit le peuple yéménite au chaos absolu. Dans la même situation Saddam Hussein pour l'Irak, El Bachir du Soudan, un pays disloqué et une population appauvrie, une partie des enfants du peuple, exploités comme mercenaires ailleurs pour quelques dollars.
La Libye, un pays parcellisé par les convoitises extérieures par la faute de son président Kadhafi dont la seule motivation est la préservation du leadership du système quels que soient les dégâts, comme d'ailleurs tous ses semblables.
Liés par besoin de protection à un Occident irrespectueux qui ne s'incline que devant les dirigeants qui respectent d'abord leur propre peuple. Le marqueur qui fait la différence entre les uns et les autres se trouve dans la perception de la composante populaire. La démocratie est la première forme politique de l'humanité.
Faite pour corriger les imperfections du temps par l'adhésion populaire, elle s'impose à tout le monde même si le confort et la prospérité de certains sont ébranlés. C'est l'indifférence des gens qui perturbe le cours normal de l'Histoire et favorise le déferlement des systèmes opaques, où la peur s'installe irrémédiablement partout. La peur est l'outil des tyrans.
Celui qui s'occupe des autres ne peut compter sur les siens et cela ne conduit qu'à la déchéance ou le bannissement. Désolant certes, mais telle n'est pas une erreur de jeunesse qui mérite de la compassion surtout si la personne est suffisamment avertie.
Plus grave pour celle qui se croit plus malicieuse, rusée et alliée à un système qui s'attribue des habilitations et des protections mutuelles, comme les caïds et bachaghas d'autrefois. Face au maître, il faut plaire, et c'est tout. La survie dictatoriale implique une obéissance aveugle car généralement les gens sont vulnérables à la peur par manque de maîtrise de soi.
Comment un peuple peut-il s'abandonner aussi facilement à des dirigeants qui sont davantage aux petits soins de l'étranger qu'à ses élites, marginalisées ou contraintes à l'exil ? Est-ce une malédiction ou un manque d'intérêt à la patrie par la faute du syndrome colonial ? Un pays n'est pas un parc d'attractions où l'on flâne pour tuer son temps et ainsi le négliger. Une négligence qui coûte excessivement cher. Sa valeur relève de l'ordre du mystère divin.
Aide-moi, je t'aide et protège-moi, je te protège si nos fonctions le permettent. Au lieu d'être au service de la collectivité, ils se mettent au service les uns des autres.
La structure ou l'institution de couverture importe peu : parti politique, société civile, organisation professionnelle, syndicat sectoriel, association de quartier, tous participent à la comédie et à la dilapidation des finances publiques par l'effet de la prééminence des textes en tant que parapluie.
Le système, qui veut dire privilèges aussi, contraint ses serviteurs à des liaisons toxiques pour les besoins de sa pérennité. L'abus autorise toutes les déviations jusqu'au jour où celui qui contrôle le destin des gens remet les compteurs à zéro. Un jour qu'il ne faut jamais oublier, le voir toujours proche et devant. C'est là où se trouve l'intérêt du télescope.
C'est en redonnant un sens à la responsabilité physique et morale dans le domaine professionnel que la complaisance, sous ses multiples facettes, disparaîtra de l'esprit des gens.
La plus grande réalisation du Hirak, plutôt le trophée est d'avoir fait sauter le verrou de l'impunité garantie. Ce qui suivra par la succession des évènements, descendant du ciel ou remontant des fonds marins selon la volonté du Seigneur, sera aussi important pour la réhabilitation de la souveraineté populaire même si le jeu du blâme est mis au-devant avec l'espoir du retour à la puissance. Les causes justes ne chavirent pas. Les décisions discrétionnaires abusives et maladroites mènent toujours à l'archaïsme, plus à la désintégration. Les décisions suffocantes mènent au suicide même si l'on a le pouvoir de ne pas l'assumer ou de l'endosser à d'autres. Ne jamais dire fontaine, je ne boirai pas de ton eau.

La stratégie de confrontation avec les peuples
Mort cliniquement, l'ultralibéralisme, englouti dans des difficultés majeures, entraîne le monde à la débâcle, en mettant en danger la santé des gens sains. Promouvoir la méfiance et l'individualisme dans le but de détruire le lien social et l'esprit de fraternité entre personnes fait partie de la préparation psychologique de l'humanité à un avenir angoissant. Tenter de briser les mouvements sociaux actifs par les leviers de la haine, de la peur et du mensonge forgera davantage l'engagement des peuples à se libérer de l'esclavage de la dette.
La faillite sanitaire mondiale conduira le néolibéralisme à une impasse et cette comédie funeste est plus un mal pour lui qu'un remède. Un désastre planétaire induit volontairement pour combattre l'éveil populaire par des restrictions antidémocratiques. L'aristocratie bourgeoise occidentale a déclaré, via ce virus, la première véritable guerre mondiale contre l'humanité. Est-elle à ses intérêts ? Les figures apparentes du capital et leurs agents, en l'occurrence les Rockefeller-Rothschild..., pensent détenir des pouvoirs célestes pour fonder une nouvelle société où le vivant humain ne sera qu'une marchandise. Le but est de bannir l'existence de l'individu social et de le modeler aux besoins de la domination politique en le déconnectant de son esprit propre. Un rêve utopique et une mécréance caractérisée.
Elle laissera de terribles blessures invisibles et traumatisantes, elle ne sera le remède d'aucun problème social. Certains pays confrontés à des contraintes intérieures ont vu en ce virus un miracle, sans évaluer le coût économique de ses stigmates. Chaque élément d'information venant du capital appelle une vérification rigoureuse pour ne pas perdre la trajectoire de la moralité. La meilleure source des bienfaits est l'alimentation saine, ce que le capital combat et c'est ce qu'il fait avec ce coronavirus 2019 pour lequel il s'est bien préparé contrairement aux précédents : H1N1, Mers, Sras. L'impact de cette hystérie est beaucoup plus dévastateur pour l'humanité que le virus lui-même.
Confondu avec le rhume ordinaire et la grippe saisonnière, ce virus est utilisé pour dramatiser la situation à travers le nombre de personnes infectées pour amplifier la psychose au sein des populations. La bavette n'est destinée qu'à faire admettre aux gens l'existence de cette pandémie invisible. Un consentement joyeux à sa propre destruction. Il n'y a pas de psychologie sans spiritualité. La vie est belle, il faut la vivre propre. La dissimulation du visage par un masque est un signe d'altération de l'individu. La peur qui affecte le fonctionnement cérébral angoisse plus l'homme par son effet invisible, plus destructrice que toute autre pathologie.
C'est le désir de ce statu quo, favorable au capital, qui a projeté la politique dans l'espace santé, par une psychose planétaire très lucrative pour les laboratoires pharmaceutiques, cela est loin d'un effet social utile. Pilotée par l'OMS, un organisme de l'ONU au même titre que le FMI et la BM, ces rentiers de la souffrance, aux petits soins de ses donateurs. Entraînée dans le champ politique américain, elle a subi une réaction foudroyante du président Trump en raison de la complexité et l'incertitude de la prochaine élection américaine.
Malheur aux pays qui se sont engouffrés dans une guerre qui n'est pas la leur. Le président Macron a répété le mot guerre plusieurs fois (15) dans son discours aux Français. Ce virus est la traduction d'un désastre politique US qui déborde sur le monde. Finalement, c'est la course vers le bas, la descente aux enfers, un virus exploité comme outil d'intimidation. Qualifiée de pandémie prématurément par une déclaration douteuse de l'OMS, il a provoqué une confusion mondiale coûteuse avec le soutien des médias entretenus par les rentiers de la souffrance des gens et cela ne provient que du déclin de la moralité.
Pourquoi se positionner pour l'achat d'un vaccin qui n'a pas fait ses preuves, bien plus qui n'existe même pas ? Payer des avances sur une précommande d'un produit douteux n'est pas louable. Présenté de façon perverse comme un acte social humanitaire, la santé des gens n'a jamais été une préoccupation d'un capital qui produit et fait la promotion des produits nocifs à la santé tandis que des médicaments guérisseurs sont, par contrainte, retirés de la vente.
Au stade actuel, l'urgence est au remède et non au vaccin. Pourquoi n'y a-t-il pas de nouveaux médicaments à l'expérimentation ou la réorientation et l'amélioration d'autres ? Est-ce une crise pro forma destinée à promouvoir la pression populaire sur les gouvernements pour obtenir une part du marché mondial très lucratif ? Une action de panique pour enrôler le maximum de patients par un phénomène insaisissable, la peur de mourir dans des conditions inédites alors que la mort obéit aux ordres de celui qui a donné la vie.
Bill Gates, qui considère l'humanité comme une réserve de cobayes par son obsession à la vaccination massive et obligatoire, doit savoir que la richesse morale de Louis Pasteur, le père de la vaccination, a beaucoup plus de valeur que la richesse financière de tous les symboles des malheurs de ce monde. Louis Pasteur a clôturé son existence par une belle invention et a rejoint sa destination éternelle dans la dignité.
Un grand nom de l'histoire de la vaccination curative contrairement à la fondation Bill Gates édifiée sur la médecine très lucrative.
cette crise n'offrira aucun gain, il n'y a pas lieu de se réjouir de la souffrance des gens avec une économie à l'arrêt.
Ce coronavirus a fait découvrir au monde la fragilité du capitalisme et la vulnérabilité de l'humanité entière. Il est impensable que l'intelligence mondiale dans le domaine médical n'ait pas trouvé un remède efficace à cette pathologie pour se concentrer sur une vaccination, au demeurant plus compliquée et de surcroît destinée aux gens sains qui ne sont pas une priorité dans une crise de telle envergure. Ce qui se trame autour de cette crise est très douteux. Il est peut-être utile de faire un parallèle avec les déclarations de Colin Powell au Conseil de sécurité de l'ONU, sur l'existence des armes de destruction massive en Irak avant de les détruire.
Au nom de l'urgence économique et sociale, l'orthodoxie financière est bafouée. La souveraineté monétaire perdue, au lieu de créer de la valeur, c'est la monnaie qui est créée par milliers de milliards de dollars comptabilisée en dette pour les générations futures.
Cette perte de valeur acte l'effacement de l'Occident dans sa conception actuelle et transforme les Etats-Unis en un pays à risques majeurs pour le monde au lieu d'être une assurance, compte tenu de son leadership.
La monnaie maintenue artificiellement forte ou faible selon le besoin de rentabilité, par les incessantes manipulations de dévaluation/revalorisation, devient le symbole des malheurs de l'économie mondiale. Seul l'effondrement de la devise toxique sortira le monde de cette turbulence financière de grande intensité.
Le pouvoir financier mondial tente de se renforcer via la numérisation de la monnaie pour ôter à la vie toute liberté.
Des actes malsains, inspirés en sous-main par les officines et les oiseaux de mauvais augure du capital.
La conséquence de ce qui n'est pas légitime est terrible, l'endettement sera toujours une source de pauvreté différée et non de bonheur. Le signe de la santé économique d'un pays provient du niveau de l'épargne locale. C'est par elle que l'on peut préserver les emplois socialement utiles, notamment de production durant les périodes de crises et de chocs économiques conjoncturels.
C'est le progrès technologique qui évacue la régression morale et projette la personne dans la vision de l'avenir. Tout ce qui ne profite pas à la population est odieux, aussi minime soit-il.
Le désastre de la pensée négative
Bernés par une publicité mensongère occidentale, assoiffés de liberté, de justice et de démocratie politique, les Libyens se sont abreuvés d'une eau salée qui n'étanche pas la soif estampillée Bernard Henri Lévy-BHL Cie. En raison de la défaillance du système éducatif et politique du régime Libyen.
Le tribalisme et l'ignorance ont fait le reste. C'est à travers cette fenêtre du sous-développement mental, un terrain fertile, que BHL et consorts se sont infiltrés dans la société libyenne, par le biais d'acteurs locaux naïfs et inconscients, pour semer un désordre général duquel elle ne s'extirpera que difficilement.
Se présentant comme un grand penseur de l'Occident, au profit d'une France embourbée dans les sables mouvants des sols libyen et syrien par la faute des mauvais conseils d'un BHL qui ne s'intéresse qu'à la promotion de sa propre personne. Que ce philosophe perturbateur des plateaux médiatiques aille donner ses bons conseils à ses coreligionnaires engloutis dans le tourbillon du désespoir. Que les pays mal conseillés sachent qu'ils ne peuvent donner de bons conseils aux autres. Celui qui s'attache à eux ne le fait qu'à ses torts. Ce genre de pouvoir politique formaté au répressif absolu consommera les conséquences de sa naïveté nonchalante, rattachée au concept tribal par le fait d'une histoire convoquée, utilisée et remaniée pour les besoins d'un présent trompeur.
Le torrent d'argent douteux, amassé sur le dos d'une population abandonnée à sa misère dans les contrées éloignées, finit toujours dans les fonds marins, ne leur laissant que la souffrance, la déchéance et une fin de vie abominable.
Certains pays comme l'Irak ont servi de champs d'expérimentation pour les nouvelles armes destructrices de l'OTAN qui, finalement, a mordu la poussière parce que le bonheur ne peut être cultivé et cueilli que dans son propre jardin et non pas dans celui des autres.
Les autres pays qui pensent tirer profit du désastre libyen vont connaître le même sort dans son désert aride. Une perte de temps et d'énergie, plus utiles à leur peuple qu'ailleurs parce que la mère patrie n'a d'affection et de tendresse que pour ses enfants légitimes et dignes, les autres sont rejetés.
L'étranger perçoit les pays qui s'adossent à lui de façon récurrente comme un appel à l'ingérence. C'est cette pensée négative qui a permis à BHL d'intervenir en Libye et à d'autres, plus nombreux en Syrie. Pourquoi le capitalisme s'est intéressé à ces pays parce que la culture tribale et confessionnelle est beaucoup plus un vecteur de fragilité sociale qu'un rempart solide de protection du pays.
Les voies du seigneur sont impénétrables
Par quel rayon de lumière angélique, Arthur James Balfour, homme d'Etat britannique, voulait, en 1917, parquer les Juifs dans un foyer en Palestine ? N'est-ce pas déjà une déclaration solennelle d'antisémitisme, un camp de concentration pour les Juifs du monde ? Une idée d'apparence séduisante mais de conséquence mortelle. Qu'ont-ils de particulier pour mériter une telle perception ? Un acte de déracinement ethnique, voire de déportation tant pour les Juifs que pour les Palestiniens, ce peuple de Palestine persécuté par les colons britanniques. Une politique de transfert de populations comme l'a expérimentée la France en Algérie. Il est fort probable que cette pensée ait un lien avec le bolchévisme russe.
À la faveur du décret Crémieux d'octobre 1870, les Juifs d'Algérie qui étaient bien intégrés dans la société ont été déracinés de leur socle social pour une exploitation insidieuse et non pas par affection. Considérés comme citoyens français avec droit de vote, pour servir de béquilles et éléments d'appoint aux colons venus d'outre-mer. Heureux, voire auréolés dans leur nouvelle famille et ayant changé de camp, le lien social avec les autochtones, jadis sous-considérés, est coupé, devenus français pour l'éternité.
C'est trop beau d'être français et algériens en même temps, reniant tout pour un petit plaisir éphémère de la vie. L'Algérie n'appartient qu'aux Algériens, ceux qui étaient considérés français non citoyens ont recouvré leur citoyenneté d'Algériens avec les honneurs et une reconnaissance mondiale en sus. Bien plus, Alger est devenue La Mecque des révolutionnaires de la dignité encore sous l'emprise des colonisateurs.
C'est au titre de ce comportement propre à eux, mensonge, irrespect des engagements, un amour effréné pour la richesse que l'Occident voulait, par un acte subtil, faire une épuration ethnique. Malheureusement, le lieu choisi pour l'implantation de ce camp, par voie d'expropriation illégitime, est inconvenant. Actuellement, il est une source d'inquiétudes aux parrains de cette tragédie sociale inédite,
En allant défier l'ordre sacré de la Palestine, considérée comme un bien personnel, le président Trump s'est mis dans un engrenage qui va le broyer et entraîner l'Amérique dans une impasse. Sur terre, il n'y a que des serviteurs, au service d'un Dieu Unique, qu'ils soient angéliques ou démoniaques. Que chacun cherche la raison aux évènements qui se produisent dans ce monde, cela fait partie de la mission de vie. Une Amérique qui a consommé sa suprématie ne peut réagir que maladroitement face à des adversaires redoutables, sous-estimés par un orgueil surdimensionné. Le stress psychologique de la perte d'influence est nocif pour les hommes politiques.
La permissivité des peuples a, d'une manière générale, contribué à de telles situations déplorables qu'exploitent les ennemis de la Nation. Seul le respect de la volonté populaire, par la grâce de Dieu, permet aux gens de croître en harmonie, les uns les autres sans se blesser, dans leur spécificité communautaire. La langue, la couleur de peau et la spiritualité ne sont pas un obstacle à la consolidation des liens sociaux.
La démocratie approfondie et perfectionne l'organisation sociale. Une élection est toujours une fête populaire lors de laquelle le prestige de l'électeur est rehaussé. Ce sont les bonnes décisions qui empêchent l'intrusion du mal-pensant, ces agitateurs qui sèment le désordre dans la société. Dans les moments difficiles, se référer à la Charte de l'humanité empêche les dérives et les pensées négatives.
Le shah d'Iran a été abandonné à son sort misérable par ses protecteurs US. La France a refusé son territoire à Ben Ali et assassiné Kadhafi dans des conditions inhumaines et la liste est, malheureusement, longue. Durant cette crise, l'Occident a fermé, de façon subite, ses frontières abandonnant les personnes à leur sort misérable tout en glosant sur les droits de l'Homme alors qu'il était le premier à les piétiner et continue à le faire car pour lui la suprématie du Bien sur le Lien ne doit souffrir aucune ambiguïté.
Tout se construit autour de cette crise pour contrer l'avènement d'un nouvel ordre mondial plus favorable à l'homme qu'au capital. Le prix sanitaire à payer sera énorme du fait des émotions négatives entretenues au sein des individus. La peur, la colère, la frustration, le stress psychologique influent négativement sur le système nerveux et immunitaire des personnes. Un nouveau réservoir de malades pour les laboratoires pharmaceutiques.
Le tableau géopolitique d'ensemble est catastrophique et BHL, porte-parole des théoriciens du désastre, a déclenché la spirale de la déconstruction de l'UE, la Covid-19 son accélérateur. Le choc économique inspiré en sous-main par les officines du capital contre le prolétariat se retournera contre lui avec un bilan qui ne sera que plus sombre.
La négation d'un remède aléatoire
La bavette et la distanciation sociale sont une manière subtile de transférer la responsabilité de l'échec de l'Etat à la personne en raison de la défaillance caractérisée et préméditée du système de santé. Par une batterie de mesures répressives, l'Etat fait endosser au citoyen la responsabilité de la maladie sous la surveillance d'un système judiciaire utilisé, pour la circonstance, comme arme politique.
Porter un masque entrave la respiration et fait réabsorber le dioxyde de carbone nocif éjecté à l'expiration surtout pour ceux qui souffrent de maladie respiratoire et cardiovasculaire.
Plus délétère que bénéfique, il entrave l'oxygénation du cerveau et est un milieu adéquat au développement des bactéries en son point humide. Mises dans un milieu stressant avec une peur médiatisée, l'état de telles personnes fragiles ne peut qu'empirer, voire mourir. En milieu scolaire, le risque est plus grand et les séquelles plus coûteuses du fait de la complexité de la construction humaine notamment juvénile.
Obstruer la sortie de l'échappement d'un véhicule en marche, le moteur s'arrête instantanément par étouffement en raison du manque d'oxygène. La mort ou la famine des gens innocents ne produit que de la désolation et une perte de soi pour tous ceux qui activent dans le circuit. Celui qui ne valorise pas sa fonction, la fonction le dévalorisera. Si le système de santé était performant, adéquat aux besoins de la population, ni le malade, ni le personnel soignant, ni les autorités ne vivraient un tel drame. La responsabilité est interne au secteur, intégrale et ne souffre aucune ambiguïté. Le citoyen lambda n'est qu'une victime collatérale de ce désastre sanitaire mondial et seule son immunité innée le protégera de cette tyrannie médicale.
Par la voie d'une stratégie perverse et sophistiquée, sous prétexte de la préservation de la santé et de la sécurité des citoyens. C'est l'un des objectifs essentiels de cette comédie funeste, mais qui se révélera contre-productive avec des conséquences néfastes à ses promoteurs. Savoir évaluer ses vulnérabilités, ce sentiment d'efficacité et d'optimisme qui incite la personne à prendre soin de soi afin de mieux vivre et en bonne santé. Pour redonner de la vigueur à un arbre, il faut savoir couper les branches malsaines et la qualité du fruit n'en sera que meilleure...
La véritable question est quelle est l'utilité d'être défaillant vis-à-vis de son peuple, dans toute sa diversité ? Pourquoi ne pas offrir aux citoyens de belles réalisations avec lesquelles ils pourront contrer les dénigrements des ennemis de la Nation ? Pourquoi ignorer le bilan sombre de ceux qui ont déconsidéré leur peuple au profit de l'étranger ?
Pourquoi leurrer le peuple avec des promesses économiques farfelues, présentées sous une apparence sociale alors que le but est éminemment politique ? Pourquoi entraîner insidieusement l'innocence d'une jeunesse dans les bourbiers de la politique et de surcroît par le biais d'un investissement coûteux au contribuable ? Toute action populaire orientée aboutit à des désastres et tout ce qui ne profite pas à la population est odieux. Il n'y a que la sagesse qui donne la bonne direction à la vie.
L'acte civil, qui ne répond qu'à un besoin administratif, à lui seul ne valide pas une union conjugale, la prescription religieuse s'impose dans notre société. Elle est même fondamentale pour que l'union soit licite. C'est le serment de la vie. Ne pas se leurrer, aucun ne quittera ce monde pour l'Eternel, dans la sérénité et la dignité par la ruse. Toute construction, sociale, économique, politique... non conforme aux lois inhérentes s'écroulera sous le poids de ses propres erreurs. Légiférer dans un domaine qui ne relève pas de la compétence humaine mène à l'enfer. Les instructions divines s'imposent à l'homme dans leur intégralité, inactualisable aux besoins spécifiques personnels. Personne n'a le droit, ni ne peut perturber l'Ordre céleste. L'ignorer n'est qu'une perte de soi-même et ne mène que vers l'impasse.
Tout confort inversement proportionnel à l'effort mène au purgatoire. Ne jamais se réjouir des gains immédiats que peut offrir cette crise. Le mensonge qui ne mène que vers le fiasco laisse de terribles blessures invisibles et traumatisantes contrairement à la franchise qui ne conduit que vers la gloire... Ceux qui aiment leur pays doivent s'engager corps et âme pour son développement afin que le pessimisme et la peur ne s'installent irrémédiablement dans la société, ces faiblesses internes par lesquelles intervient l'humiliation externe.
Ce pays protégé par ses saints et martyrs, important dans l'échiquier mondial, saura graduellement solutionner ses problèmes et conduira à la dérive tous ceux qui tenteront de l'abîmer ou de freiner son développement économique et social. Mis en pilotage automatique et par l'effet de son énergie cinétique, il atteindra sa destination dans le calme et la sérénité. L'excès de vitesse mène souvent à des dérapages dangereux surtout dans le domaine social. Le régime a pris, selon sa pensée, du Hirak ce qui lui convenait et rejeta le reste. Cela est-il à son avantage ? Généralement quand les prévisions sont contredites par les faits, il faut savoir réviser sa politique. Toute crise est une occasion propice pour un changement de direction au moindre frais.
Ceux qui coûtent le plus cher dans la vie, c'est l'insouciance et la spiritualisation des illusions. Du choix entre servir le peuple ou se servir de lui à ses propres avantages dépend l'efficience de la responsabilité. La vie est binaire, le choix est personnel... L'Ordonnateur du Temps et de l'Espace, bien synchronisés, a fait du soleil, un corps céleste qui ne se lève que de l'est. Ses décrets sont immuables et Ses Promesses sont Vraies.
L'être humain n'est, en réalité, qu'un acteur d'une séquence réelle de la vie au service du Créateur. Notre devoir est de protéger, par tous les moyens qu'offrent la sagesse et la raison, ce pays convoité par trop d'intérêts individuels et collectifs à ce qu'il ne bifurque pas vers ce qui est contraire aux besoins légitimes de la collectivité car aucun futur serein ne naîtra d'un présent tourmenté. Cela est dans l'ordre de mes précédentes contributions.
Les prémices d'un bon avenir pour l'Algérie s'affichent au compteur de façon soutenue, à une vitesse certes lente mais néanmoins convenable pour notre cas. Socialement, les peuples évoluent moins vite que les individus d'où ce mécontentement populaire et cette précipitation à vouloir obtenir tout ce que l'on veut rapidement. L'Homme est ainsi créé, il est de nature prompte cependant tous les excès et précipitations ne mènent qu'au traquenard de l'illicite, source de l'angoisse. Cet agresseur permanent, invisible et destructeur pour l'Homme.
Que Dieu nous guide dans la bonne voie, celle du progrès et du réalisme.
Vive l'Algérie et gloire à nos martyrs éternels.
B. A.
(*) Cadre supérieur, secteur de l'industrie lourde.


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