L�ex-maire des Issers condamn� � une ann�e de prison ferme Chetta Omar, ancien maire des Issers (wilaya de Boumerd�s), a �t� condamn�, en premi�re instance, par le tribunal correctionnel de Boumerd�s � une ann�e de prison ferme. Il est accus� de falsification d�une d�lib�ration et de passation ill�gale de march�s. Le procureur avait requis, rappelons-le, contre lui 2 ans de prison ferme. Pour rappel, le pr�venu a �t� �lu, en 2007, � la t�te de la mairie des Issers sur la liste des ind�pendants. Il est r��lu le 29 novembre 2012 sur la liste du parti UND. Le pr�venu, contrairement � ses coaccus�s, n�a pas daign� r�pondre aux trois convocations du juge. Ses coaccus�s dans ce dossier, notamment Slimane R., ancien premier vice-pr�sident de l�APC, Smail G. deuxi�me vice-pr�sident et Youcef K., tous colistiers de l�ex-P/APC et �lus en 2007, ont �t�, quant � eux condamn�s � 6 mois de prison avec sursis. Rabah B, Mohamed B, Arezki T, �lus en 2007, respectivement sur les listes du FNA, du FFS et du FLN, ont �cop� de la m�me peine (6 mois de prison avec sursis). La m�me peine a �t� inflig�e � Kamel R., commer�ant, fr�re du premier-vice pr�sident. Tous ces �lus ont �t� suspendus quelques mois avant leur comparution devant le juge. Pour ce faire, Kamel Abb�s, wali de Boumerd�s avait puis� son argument juridique de l�article 43 du nouveau code communal qui stipule que �l��lu faisant l�objet de poursuites judiciaires pour crime ou d�lit en rapport avec les deniers publics�. , est suspendu�� L�ex-maire des Issers et son coaccus� Mohamed B., (ancien �lu du FFS) se sont repr�sent�s aux derni�res �lections locales sous l��tiquette du nouveau parti politique l�UND. Une autre fois, le wali est intervenu, apr�s le d�p�t des dossiers des candidatures, pour les �carter du scrutin. Au motif qu�il n�y a pas eu de condamnation, la justice a refus� d�avaliser cette mise � l��cart. Les deux pr�venus ont �t� appel�s � la barre durant la campagne �lectorale. Pr�occup� par sa campagne �lectorale, l�ex-premier magistrat des Issers ne s�est pas pr�sent� devant la justice. Apr�s les �lections du 29 novembre, la liste de l�UND s�est vu attribuer 4 si�ges dont ceux de Chetta Omar et Mohamed B. Le wali revient � la charge et �met un arr�t� de suspension. Une autre fois, la justice le remet en cause. Mais cette fois-ci la chambre administrative aurait outrepass�, ses pr�rogatives puisque l�article 43 du code communal fait �tat de poursuites judiciaires et non de condamnation. En effet, � bien lire le libell� de cet article, tout �lu faisant l�objet de poursuite judiciaire, c'est-�dire le fait d�une simple inculpation, voit son mandat suspendu. Abachi L. Djezzy � l�Universit� de Boumerd�s L�op�rateur de t�l�phonie mobile Djezzy a ouvert un kiosque de prestations de services gratuits, en direction des �tudiants de l�Universit� M�Hamed-Bougara de Boumerd�s (UMBB). Mercredi apr�s-midi, le kiosque a �t� inaugur� lors d�une c�r�monie pr�sid�e par madame Ouiza Cherifi, rectrice de l�UMBB, en pr�sence de Hamid Grine, directeur de communication de Djezzy. Tirages de photocopies, travaux de reliure, travaux de massicotage et recharge de portables sont les prestations qui seront offertes gracieusement par ce kiosque install� dans la cour de la biblioth�que centrale de l�universit�. Par ailleurs, les responsables de la soci�t� se sont engag�s pour l�installation d�un autre kiosque, dans le m�me lieu, pour d�autres prestations comme la connexion � internet. A cette occasion, madame Cherifi rappellera aux invit�s, les actions de partenariat r�alis�es entre l�Universit� de Boumerd�s et Djezzy. Les deux parties ont ent�rin� une convention de partenariat. Il sera question du sponsoring des c�r�monies de sorties de promotions, de l�int�r�t professionnel accord� par Djezzy aux majors de promotion et d�organisation de conf�rences � caract�re scientifique en direction des cadres de l�entreprise. �Nous avons confiance en notre jeunesse et nous misons sur elle pour le long terme�, dira, de son c�t�, Hamid Grine. Abachi L. A�N DEFLA L�escroc des b�n�ficiaires de l�Ansej sous les verrous Il se faisait passer pour un important fournisseur de mat�riels et d��quipements pour les petites entreprises qui ont b�n�fici� du dispositif de l�Ansej. Selon des sources polici�res, l�homme, �g� de 42 ans, r�sidant � A�n Defla, profitant de l�inexp�rience des jeunes futurs entrepreneurs et de l�euphorie des centaines de millions qui leur ont �t� accord�s sous forme de cr�dits, les contactait et leur proposait les �quipements et mat�riels qu�ils d�siraient acqu�rir et m�me sans exiger de commissions, ils devaient en contrepartie lui verser 30 % du montant global de la commande. Le �fournisseur � leur faisait miroiter que leurs commandes seraient honor�es et les �quipements livr�s dans un d�lai ne d�passant pas trois mois. Press�s de devenir op�rationnels et productifs dans les meilleurs d�lais, et d�sireux �viter les tracasseries bureaucratiques, longues et fastidieuses, nombreux donc �taient ceux qui lui ont fait confiance. Cependant, pass� ce d�lai, nos futurs entrepreneurs ne voyaient pas toujours venir la livraison des �quipements command�s et pour lesquels ils ont d�j� vers� les 30 % exig�s. Ils ont donc fini par comprendre que l�homme les menait �en bateau�. Certains d�entre eux n�ont pas alors h�sit� � d�poser plainte aupr�s des services de police de la S�ret� de wilaya. Les responsables de la police judiciaire, flairant l�escroquerie, ont alors entam� une enqu�te. L�individu est alors interpell� et interrog�. V�rifications faites, il s�est av�r� que le mis en cause n�a jamais �t� fournisseur de quoi que ce soit, sauf de mensonges pour escroquer des gens. Confondu par des t�moignages et des preuves, il a �t� arr�t�. Mercredi dernier, il a �t� d�f�r� au parquet de A�n Defla o� il a �t� ordonn� sa mise sous mandat de d�p�t. Karim O. Le chauffage central pour les 405 �coles primaires Dor�navant, les 405 �coles primaires que compte la wilaya d�A�n Defla seront chauff�es par un �quipement de chauffage central, par une chaudi�re fonctionnant au gaz et alimentant en circuit ferm� les radiateurs dans les classes, selon un programme mis en application depuis 2010. Selon la Direction de l��ducation, au jour d�aujourd�hui, dans 139 �coles, ce syst�me mis en place est op�rationnel. Dans 116 �coles, les travaux de mise en place du m�me syst�me sont en cours. Une fois cette deuxi�me tranche r�alis�e, les 160 autres �tablissements seront aussi concern�s � l�op�ration �tant inscrite � qui pour l�heure continuent � �tre chauff�s au moyen de po�les � mazout. De ce fait, les communes verront leurs t�ches all�g�es puisque ce sera fini du transport de gasoil et des approvisionnements parfois al�atoires pour moult raisons. Cependant, si le chauffage central est plus propre et plus pratique, leur entretien n�cessitera le recrutement de chauffagistes confirm�s, ce qui n�est pas pr�vu. Pour l�heure, ce genre de personnel ne figure pas dans les cartes scolaires, la t�che �tant simplement confi�e aux gardiens sans aucune qualification sp�cifique, des ANS (agents non sp�cialis�s). D�penser des milliards pour assurer le chauffage � nos enfants et les meilleures conditions d�une bonne scolarit�, c�est bien. Mais pour rentabiliser au maximum ces �quipements et leur assurer une dur�e de vie maximale, on ne peut faire l��conomie de ce personnel. On notera, au passage, que sur le territoire de la wilaya d�A�n-Defla on compte 78 �coles ferm�es dans les zones o� les populations ont quitt� leurs terres contraintes � l�exode durant les ann�es 90 et o� elles ne sont pas retourn�es. Sur ces 78 �coles, indique-ton, 6 ont pu �tre rouvertes apr�s l�amorce d�un retour de la population. K. O. M'SILA Attribution de grades aux policiers L'Ecole de police de M'sila a organis� jeudi dernier, une c�r�monie o� on a d�cern� 37 promotions de diff�rents grades au personnel de la S�ret� de wilaya, en pr�sence des autorit�s civiles et militaires. Le premier grade a �t� attribu� � un commissaire principal pour devenir divisionnaire. Un lieutenant a �galement �t� promu au grade de commissaire, un inspecteur passe au poste d'inspecteur principal, 5 brigadiers chefs sont devenus des inspecteurs de police, 3 brigadiers ont obtenu le grade de brigadier chef et 27 agents de police ont re�u le grade de brigadier. A La�di EN SIGNE DE D�NONCIATION DE LA SITUATION SOCIO�CONOMIQUE �ALARMANTE� � B�JAIA Des travailleurs ont march� � l�appel de l�UGTA L�Organisation syndicale de Sidi- SAID n�arrive visiblement plus � mobiliser dans la wilaya de B�ja�a comme l�atteste la faible adh�sion des travailleurs autour du mot d�ordre d�une journ�e de protestation observ�e avant-hier jeudi � l�appel de l�Union de wilaya de l�UGTA. En effet, la consigne d�une journ�e de protestation appuy�e d�une marche programm�e pour jeudi au niveau du chef-lieu, lanc�e par l�Union locale de l�UGTA n�aura �t� que tr�s faiblement suivie. Alors que tout les secteurs d�activit�s publics et priv�s ont continu� � fonctionner normalement, la manifestation de rue n�a drain� que quelques dizaines de personnes au d�part de la marche entam�e de la rampe du port vers le si�ge de la wilaya, en signe de d�nonciation de la situation socio�conomique �alarmante� qui pr�vaut dans la r�gion. Dans la d�claration sanctionnant les travaux d�une r�union de l�Union de wilaya de l�UGTA, le 13 d�cembre dernier, ayant regroup� comme mentionn� dans le document remis � la presse �163 cadres syndicaux de la wilaya�, les syndicalistes s�insurgent contre la situation de pr�carit� dans laquelle se trouvent des milliers de travailleurs au niveau de la wilaya de B�ja�a tout en d�plorant le silence des pouvoirs publics � leurs revendications.�La gr�ve lanc� par les travailleurs de l�ETR depuis 9 mois, suite � une mauvaise prise en charge de leurs probl�mes socioprofessionnels, la volont� de la d�localisation de l�entreprise Sodismac d�EL Kseur vers une autre wilaya malgr� ses performances (50 milles tonnes de ciment par an), l�approvisionnement des entreprises en mati�res premi�res au goutte � goutte et de mani�re irr�guli�re, le licenciement abusif des travailleurs et cadres syndicaux en particulier � l�exemple de ceux de l�Erenav sont une preuve d�un plan visant � maintenir la r�gion dans le sous-d�veloppement � fait constater am�rement l�UGTA de B�ja�a dans sa d�claration. Entre autres mots d�ordre de la journ�e de protestation, l�UGTA exige la r�habilitation sans conditions des cadres syndicaux de l�Erenav �sanctionn�s injustement au m�pris des lois de la R�publique�, la prise en charge des probl�mes pos�s par les travailleurs de l�ETR , la r�vision de l�article 87 bis de la loi 90/11 et l�int�gration des corps communs dans les statuts particuliers de la fonction publique ainsi qu�un plan sp�cial pour la wilaya de B�ja�a. Le repr�sentant du syndicat des travailleurs de l�Erenav souligne que leur action de protestation contribue � injecter une nouvelle vie, dans la lutte pour les droits des travailleurs. �Une �nergie � m�me de permettre de poursuivre le combat pour le recouvrement de tous les droits et la dignit� des travailleurs� affirme le syndicaliste de l�Erenav tout en pr�cisant que les employ�s gr�vistes de l�Erenav depuis une semaine r�clament l�annulation imm�diate des mesures prises contre les quatre syndicalistes, licenci�s par la direction de l�entreprise au lendemain du d�brayage du 2 avril 2012. La m�me d�termination de ne pas baisser les bras pour faire aboutir leurs revendications est affich�e par les travailleurs de l�ETR ayant pris part � la manifestation . Sans salaire depuis 9 mois , les gr�vistes de l�ETR ne m�chent pas les mots pour fustiger le directeur de leur entreprise. �Nous sommes en face d�un directeur qui a pi�tin� toutes les r�glementations et n�a montr� aucun respect aux travailleurs� fulmine un manifestant de l�ETR qui exige �une enqu�te du minist�re de tutelle pour faire la lumi�re sur ce qui s�est pass� dans notre unit�. A. Kersani COMMUNIQU� DE MOBILIS La premi�re �dition des rencontres entreprises de Mobilis cl�tur�e � Alger Apr�s Tlemcen et Annaba, l� o� se sont tenues les rencontres entreprises 2012, de l�Ouest le 22 octobre et de l�Est le 22 novembre, ce premier cycle est cl�tur� en beaut� � Alger. En pr�sence des clients du centre et du sud de l�Alg�rie, Mobilis termine l�ann�e par le centre du pays, l��v�nement a �t� organis� le 20 d�cembre 2012 � l�h�tel Mercure, � Alger, proposant un programme tr�s riche en activit�s et animation, ayant comme objectif de cr�er un espace de partage, d��changes et de d�couverte mutuelle, renfor�ant par l�occasion le partenariat d�j� tiss� entre l�op�rateur et ses clients entreprises du centre et du sud du pays. Les rencontres entreprises sont �galement l�occasion pour t�moigner la reconnaissance de Mobilis envers ses clients entreprises, en honorant quelques-unes des milliers de celles qui lui font confiance au quotidien. A cet effet, trois troph�es seront d�cern�s entre autres, celui du doyen des clients et la plus grande flotte de la r�gion. Par le biais de cet �v�nement, Mobilis renouvelle son engagement d��tre un partenaire orient� service et centr� sur le client, avec des offres et des solutions toujours innovantes, r�pondant aux attentes et aux besoins grandissants de ses clients entreprises. Pour plus d�informations, rendez-vous sur le site de Mobilis au www.mobilis.dz ou la page Facebook.