Le président de l'APC de Zéralda nous a adressé une mise au point où il conteste le contenu de l'article publié en page 9, dans notre édition du vendredi 11-Samedi 12 septembre 2009. L'article en question, intitulé «Affaire de l'hôtel Ennour du centre des affaires de Zéralda», comporterait, selon lui, des approximations et des allégations. Le président de l'APC estime que l'auteur de l'article aurait dû faire preuve «d'un minimum de professionnalisme», notamment «en faisant parler les deux parties au lieu d'essayer d'influer le juge qui doit présider le procès». Il ajoute que les troubles à l'ordre public provoqués par les clientes du cabaret se trouvant sur les lieux sont bien réels, d'où les plaintes du voisinage. Le P/APC de Zéralda précise également n'avoir jamais déposé plainte contre les policiers ni les officiers qui, dit-il, «ont toujours fait correctement leur travail en étant coopératifs». Par ailleurs, il réfute le titre de «propriétaire» aux protagonistes, précisant que le l'hôtel Ennour et le Centre des affaires sont la propriété de la commune de Zéralda. Précisant qu'il en appellera à la justice pour diffamation contre sa personne, le P/APC de Zéralda conclut n'avoir jamais proféré de propos obscènes à l'encontre de quiconque. Il précise enfin qu'il n'aurait pu être candidat ni garder son poste de président d'APC s'il avait été vraiment condamné à plusieurs reprises, comme cela a été rapporté dans l'article.