L'équipe nationale vient de clore l'avant-dernier stage de 10 jours à Chlef, le dernier étant prévu quelques jours avant le départ pour la Pologne, programmé pour le 11 juin. La sélection algérienne de Volley-ball-assis évoluera dans le groupe A, au championnat du monde de la discipline, prévu à Elblag en Pologne du 15 au 21 juin 2014, a révélé le site officiel de la Fédération mondiale du volley-ball-assis. Outre l'Algérie, le groupe A est également composé de la Pologne (pays hôte), l'Ukraine et la Chine. «Notre groupe est difficile, mais reste prenable, même si c'est le premier Mondial dans l'histoire du volleyball-assis algérien», a déclaré l'entraîneur national Abdelkader Kefis, estimant qu'il faut faire avec et essayer d'être le plus représentatif possible. Interrogé sur les adversaires directs des Verts, le technicien algérien se veut rassurant, estimant toutefois qu'il s'agit de sélections habituées à disputer ce genre de compétition. «Cela ne nous démobilise pas pour autant, car nous n'avons rien à perdre. Notre sélection est jeune et en formation. Elle est gagnante sur toute la ligne», a expliqué Kefis. Dans le classement mondial de la Fédération internationale de volleyball-assis pour l'année 2014, l'Ukraine est 7è, la Chine 8è et la Pologne (20è). «Le classement de nos adversaires, est peut-être révélateur, mais c'est tant mieux pour nous, car nous allons être une sélection a découvrir, et cela nous permettra de jouer nos matchs sans complexe et avec conviction», a assuré le coach. Pour ce faire, l'équipe nationale algérienne vient de clore un stage de dix jours à Chlef, avant le dernier prévu quelques jours avant le départ pour Elblag en Pologne, programmé pour le 11 juin. Néanmoins, le problème auquel seront confrontés les coéquipiers de Kabli Kacem est l'absence de matchs d'application. «Oui bien sûr, on aurait souhaité effectuer un stage de niveau international et jouer le plus de matchs possible, afin d'apporter les correctifs nécessaires en prévision du Mondial», a souligné l'entraîneur national qui reste, malgré tout, «confiant».