Le défenseur de SPAL, libéré par le coach national Demain, Belmadi devrait, sauf revirement de dernière minute, faire appel au revenant Ayoub Abdellaoui, pour occuper le flanc gauche de la défense. Désormais, il ne se passe pas un jour sans que l'on enregistre une nouvelle blessure dans le groupe algérien, qui donnera la réplique demain au Togo, à Lomé, en éliminatoires de la CAN-2019. Hier, et sur recommandation du staff médical des Verts, le latéral gauche Mohamed Farès a été libéré par le sélectionneur national, Djamel Belmadi, n'étant pas apte à tenir sa place demain avec les siens, pour cause de blessure. Une blessure qui tombe au mauvais moment pour la sélection nationale, d'autant que le défenseur de SPAL demeure l'une des pièces maîtresses de Belmadi, qui a trouvé en lui le remplaçant idéal de Faouzi Ghoulam, indisponible depuis presqu'une année. Demain, Belmadi devrait, sauf revirement de dernière minute, faire appel au revenant Ayoub Abdellaoui, pour occuper le flanc gauche de la défense. Le pensionnaire du FC Sion pourrait être utile pour les Verts dans cette rencontre, lui qui connaît bien les terrains africains, pour avoir déjà pris part à plusieurs rencontres avec son désormais ex-club, l'USM Alger. Sauf si Belmadi décide d'aligner Bensebaïni à gauche et associer Benlamri à Tahrat dans l'axe de la défense. Si Farès, qui s'ajoutera à Brahimi, sera absent, la bonne nouvelle vient du gardien de but Raïs M'bolhi. Ce dernier, et après plusieurs jours où il a laissé planer le doute, est remis de sa blessure au genou et tiendra, ainsi, sa place pour garder les bois des Verts. Avant de rejoindre lundi le stage de Sidi Moussa, il avait pris part au dernier match de son club d'Al-Ittifaq, battu à domicile face à Al-Nasr (1-2) en championnat saoudien. La délégation algérienne, qui devait arriver hier dans la soirée à Lomé, ne risque pas de faire face à des conditions climatiques difficiles. Ceci, étant donné que l'on annonce un taux peu élevé d'humidité, même si le soleil tape bien fort dans la journée. La température avoisinera les 34 degrés, selon les médias locaux. Les Algériens devaient être logés à l'hôtel Sarakawa, en bord de mer, avant que le manager général, Hakim Meddane, ne décide de le changer à la dernière minute. Il a expliqué ce choix, hier, sur les ondes de la Radio nationale, par son souci de mettre la délégation algérienne dans les meilleures conditions possibles, durant son séjour au Togo. Les Togolais, eux, sont logés en centre-ville, à l'hôtel du 2-Février, considéré comme le plus luxueux de la ville, disposant de l'avantage d'être mitoyen du stade municipal, théâtre de la rencontre de demain.