Une sympathique cérémonie a réuni, hier, le personnel féminin du journal avec le reste de la rédaction, à l'occasion du 8 Mars. Nos consoeurs ont eu droit à des fleurs et autres présents. Signe des temps et preuve que la liberté de la femme au journal est une réalité, elles ont été unanimes à déclarer que «leur fête» s'étalait sur 365 jours et non pas seulement un jour de l'année, fût-il le 8 mars. C'est avec un tel tempérament que s'arrache la liberté. Bravo!