Alors que tout le monde pensait que le prix allait revenir à des cyber-activistes notamment egyptiens et tunisiens pour leur rôle joué dans les révolutions ayant coutés leurs poste aux présidents Hosni Moubarek et Ben Ali, voilà qu'aucun tunisien ni égyptien n'a pu triompher à Stockholm. En effet, les lauréates sont Ellen Johnson Sirleaf et Leymah Gbowee du Libéria, et Tawakkol Karman du Yémen. Le choix de Ellen Johnson Sirleaf n'était pas très surprenant compte tenu des progrès qu'à connu le Libéria après son investiture en 2005. Des élections qu'elle avait gagné face à un certain georges Weah, l'ex star du football mondial. Cette économiste, formée à Harvard et mère de quatre enfants et grand-mère de huit petits-enfants, avait travaillé pour l'ONU et la Banque mondiale. Surnommée « Dame de fer », le néo prix Nobel de la paix a passé deux séjour en prison dans les années 1980 sous le régime de Samuel Doe. Sa compatriote Leymah Gbowee a joué un rôle important et contribuer fortement dans sa lutte contre la guerre civile qui a ravagé le pays jusqu'à 2003. Connue comme « la guerrière de la paix », Gbowee est très connue des mouvements des non-violence. Celle qui a fondé et qui dirige plusieurs organisations de femmes, a siégé dans la Commission Vérité et Réconciliation du Libéria.. Enfin, la yéménite Tawakkol Karman troisième lauréats du prix Nobel a joué un rôle prépondérant dans sa lutte contre le régime de Saleh. Cette journaliste a prix la tête des manifestations estudiantines donnant le coup d'envoi du soulèvement contre le pouvoir yéménite, elle qui a encouragé les partis politiques de rejoindre sa cause. Tawakkol Karman a fondé en 2005 le groupe « Femmes journalistes sans chaînes ». Quelques minutes après avoir eu la nouvelle, cette jeune de 32 ansa dédidé son prix au « printemps arabe », en précisant que c'est une victoire pour la « révolution » du Yemen. Le choix de ces trois femmes est venu contredire toutes les spéculations de ces derniers jours sur l'éventualité de voir des cyberactivistes arabes « hériter » le prix qu'a gagné le dissident chinois, Liu Xiaobo. Cherif Memmoud Le choix de Ellen Johnson Sirleaf n'était pas très surprenant compte tenu des progrès qu'à connu le Libéria après son investiture en 2005. Des élections qu'elle avait gagné face à un certain georges Weah, l'ex star du football mondial. Cette économiste, formée à Harvard et mère de quatre enfants et grand-mère de huit petits-enfants, avait travaillé pour l'ONU et la Banque mondiale. Surnommée « Dame de fer », le néo prix Nobel de la paix a passé deux séjour en prison dans les années 1980 sous le régime de Samuel Doe. Sa compatriote Leymah Gbowee a joué un rôle important et contribuer fortement dans sa lutte contre la guerre civile qui a ravagé le pays jusqu'à 2003. Connue comme « la guerrière de la paix », Gbowee est très connue des mouvements des non-violence. Celle qui a fondé et qui dirige plusieurs organisations de femmes, a siégé dans la Commission Vérité et Réconciliation du Libéria.. Enfin, la yéménite Tawakkol Karman troisième lauréats du prix Nobel a joué un rôle prépondérant dans sa lutte contre le régime de Saleh. Cette journaliste a prix la tête des manifestations estudiantines donnant le coup d'envoi du soulèvement contre le pouvoir yéménite, elle qui a encouragé les partis politiques de rejoindre sa cause. Tawakkol Karman a fondé en 2005 le groupe « Femmes journalistes sans chaînes ». Quelques minutes après avoir eu la nouvelle, cette jeune de 32 ansa dédidé son prix au « printemps arabe », en précisant que c'est une victoire pour la « révolution » du Yemen. Le choix de ces trois femmes est venu contredire toutes les spéculations de ces derniers jours sur l'éventualité de voir des cyberactivistes arabes « hériter » le prix qu'a gagné le dissident chinois, Liu Xiaobo. Cherif Memmoud joyeux 08-10-2011 09:04