Le trottoir qui est réservé exclusivement aux piétons fait partie du domaine public. Cette règle n'est pas observée par certains commerçants de certaines rues au niveau de la commune d'Hussein Dey. Les trottoirs ne sont pas alignés sur la même hauteur, il y a des bordures qui dépassent 40 cm de hauteur et d'autres moins. L'usager de la rue trouve toutes les peines du monde à marcher sur les trottoirs, en raison des élévations des bordures. Ces dernières ne sont pas alignés selon la même hauteur, il y a des bordures qui dépassent 40 cm de hauteur et d'autres beaucoup moins. Au lieu de marcher, le piéton se retrouvera ainsi contraint à bondir d'un trottoir à un autre tout au long d'une rue. La marche à travers les artères d'Hussein Dey est assimilée beaucoup plus à une corvée. Parce qu'une grande partie des trottoirs des voies principales a été refaite des tenants certaines boutiques, sans que les services de l'APC prennent le soin d'interdire à ces commerçants de toucher à des espaces qui relèvent du domaine public. Pis encore, il est des commerçants qui ne se sont pas gênés d'annexer carrément le trottoir à leur échoppe. Ces défaillances sont signalées dans plusieurs rues et ruelles d'Hussein Dey. L'on citera la rue de la Liberté, la rue Gharbi, ou encore la rue Mohamed-Douba ou Boudjemaâ-Moghni, ex-rue Parnet. "On dirait que nous ne sommes pas dans une capitale, on a l'impression d'être dans un village", déplore un usager de la rue. N. Z