Participation de 26 pays au Festival international des miniatures et des arts décoratifs Vingt-six pays sont attendus à la neuvième édition du Festival des miniatures et des arts décoratifs, prévu du 22 au 27 septembre au palais des expositions Moufdi-Zakaria d'Alger, a déclaré à l'APS mardi à Batna, le commissaire de ce festival, Moussa Kechkeche. Fusionnée avec le Festival international de la calligraphie arabe, cette 9e édition sera notamment marquée par la présence de l'Egypte, la Malaisie, l'Indonésie, la Turquie, l'Iran, l'Inde ou encore le Pakistan, a indiqué M. Kechkeche. Outre des conférences sur l'histoire des miniatures et des arts plastiques, animées par des spécialistes, des ateliers pratiques d'initiation aux techniques picturales figureront également au menu de ce festival, révèle-t-il. APS Deux films algériens en compétition au 31e Festival du film de Namur Le film documentaire Fi rassi rond-point (Dans ma tête un rond-point) du réalisateur algérien Hassen Ferhani et le court métrage Kindil el-bahr du Franco-Algérien Damien Ounouri seront en compétition officielle au 31e Festival international du film francophone (FIFF), prévu du 30 septembre au 6 octobre à Namur (Belgique), indiquent les organisateurs. Les deux œuvres seront présentées dans la sélection internationale qui mettra en compétition des films de Tunisie, du Canada et de France, entre autres. Réalisé en 2015, Fi rassi rond-point donne un aperçu sur les abattoirs d'Alger, un espace à la fois lugubre et vital où des hommes s'adonnent à huis clos, à leurs tâches quotidiennes. Le documentaire avait décroché plusieurs distinctions dont le Grand Prix du 7e Festival "Filmer le travail" à Poitiers (France) et le prix du jury du 8e Festival international du film documentaire (Fidadoc) au Maroc. Il avait également été sacré meilleur documentaire au 6e Festival international du cinéma d'Alger (Fica) et dernièrement "meilleur documentaire" au 9e Festival international d'Oran du film arabe (Fiofa). Le court métrage Kindil el-bahr (2016), basé sur un scénario coécrit par le réalisateur et la comédienne algérienne Adila Bendimred, évoque la condition de la femme à travers l'histoire de Nafissa, battue à mort par un groupe d'hommes sur une plage. Encensé par la critique en Algérie et à l'étranger, il a avait été projeté en mai dernier à la "Quinzaine des réalisateurs" au 69e Festival de Cannes (France) et récemment aux 14es Rencontres cinématographiques de Béjaïa. APS