Par ailleurs, comme le signale le journaliste investigateur américain, Webster Tarpley, c'est une société contrôlée par Israël, Amdocs, qui a installé le système de communications de la Maison-Blanche. Amdocs assure en outre l'assistance téléphonique, l'archivage des appels et la facturation pour les 25 plus grandes compagnies de téléphone des Etats-Unis, ce qui lui permet de disposer des listes de tous les appels effectués et de placer n'importe quel appareil sur écoute quand elle (ou le Mossad) le désire. Telrad, la plus importante entreprise de télécommunications israélienne, est, elle aussi, très active aux Etats-Unis.Narus, compagnie «californienne» fondée par l'Israélien Ori Cohen, collabore étroitement avec la NSA (agence fédérale américaine pour l'espionnage électronique). Le système NarusInsight permet la surveillance systématique des communications Internet. ICTS, autre entreprise israélienne, s'occupe du contrôle des passagers dans plusieurs aéroports américains (dont Boston, d'où sont partis deux des avions du 11 septembre) ; elle est également présente dans de nombreux aéroports d'Europe (dont Roissy). Le personnel d'ICTS se recrute parmi les anciens agents du Shin Beth israélien, ce qui permet de faire passer à bord de n'importe quel avion autant d'armes et de «terroristes arabes» que l'on veut. Magal et ICTS sont également chargées de la «sécurité» des silos nucléaires aux Etats-Unis. Il faudra s'en souvenir lorsque «Poutine» aura déclenché la troisième Guerre mondiale - d'autant plus que c'est un Israélien, Michael Chertoff, qui dirige la Homeland Security américaine. (En janvier 2009, la sioniste juive Janet Winer Napolitano reprend le flambeau.) En mars 2011, à l'occasion de la catastrophe de la centrale nucléaire de Fukushima (Japon), on apprend que c'est l'entreprise israélienne Magna BSP qui assurait la «sécurité» des lieux. Pour les sionistes, le mot «sécurité» signifie toujours «sécurité pour nous», c'est-à-dire insécurité pour les autres. C'est la porte ouverte au Mossad pour d'éventuels actes d'espionnage ou de sabotage. Il est probable que la plupart des installations nucléaires, au Japon et ailleurs dans le monde, sont ainsi «sécurisées» par des agents de l'Etat terroriste juif. En 2008, plusieurs grandes villes américaines donnent carte blanche aux «experts» israéliens pour le contrôle total des aéroports. A Los Angeles, la ville a «engagé» trois de ces «spécialistes». Ils touchent chacun 1 000 dollars par jour, plus indemnité de transport, logement gratuit et remboursement de tous leurs frais. Après l'attentat bidon de Détroit, fin décembre 2009, le Chertoff Group du sioniste «américain» Michael Chertoff, qui «conseille» le gouvernement en matière de «sécurité» et réclame depuis longtemps la généralisation des scanners corporels, s'attend à une explosion... de ses bénéfices. (A suivre)