Suite à la décision de la ministre de l'Environnement et des Energies renouvelables de démettre l'ex-DG de l'AND de ses fonctions, les Djelfaouis reprennent de l'espoir et l'Algérie respire mieux. Il y a des wilayas qui sont réputées pour leur attachement à la défense ou l'amélioration de l'environnement. Les associations de la wilaya de Djelfa sont jalouses et veulent imiter, sinon faire mieux. Le projet de la déchèterie et de la collecte des papiers et cartons qui avait été mené de main de maître par mademoiselle Leila Bouhali, cadre du ministère de l'environnement détachée, pour la cause par Cherif Rahmani. Les autorités d'alors ont largement contribué à la réussite de l'opération. Les maires Brahimi, Abdelali et Abdelbaki Ben Si Aissa ont chacun en sa mandature apporté sa contribution à la réussite du projet. Sauf que l'ex-DG de l'AND n'entendait pas et ne se permettait pas de voir et d'admettre la réussite de l'un des quatre projets lancés ce qui remettait en cause ses capacités de gestion. Pour l'ex-président de l'APC de Djelfa sortant, qui avait été contacté par un de ses potes pour lui louer le hangar qui servait de dépôt des papiers et cartons récupérés. Il décide alors de mettre fin de la mise à disposition du ministère de l'Environnement, bien sûr avec l'assentiment joyeux de l'ex- directeur général de l'AND. Les associations de la société civile de Djelfa ont organisé un site-in dénonçant la démarche de l'ex-DG de l'AND et de l'ex- P/APC de Djelfa. La mobilisation était très importante. Par la suite, c'est le statu-quo et une bataille judiciaire entre la chef de projet et l'ex- DG de l'AND. La chef de projet a eu gain de cause, sans que ses droits ne soient réhabilités, et ce durant la période de l'ex-DG de l'AND. l'ex- hangar s'est vu être transformé en une unité de récupération des bouteilles en plastiques et leur broyage. C'est bénéfique mais les papiers et cartons ne sont plus recyclés, ils jonchent les rues commerçantes de la ville. Les mauvaises langues sont en train de faire porter à l'ex-président de l'APC, le Dr Z, la responsabilité et ne vont pas du dos de la cuillère de leurs accusations qu'il perçoit des rentes de la part du nouveau locataire de la déchèterie des bouteilles en plastique. «Merci madame la ministre pour la courageuse décision. Mais rétablissez le système de récupération des déchets solides carton et papiers. Nous sommes prêts à militer pour la cause», disent les Djelfaouis. C'est le sentiment de tous ceux qui ont contribué à la réussite du projet. D'ailleurs, la publication sur FB d'un statut de l'ex-DG de l'AND avait attiré l'attention des militants de l'environnement. Cette information ne figure pas sur les bilans qui vous parviennent. Il n'y a aucun doute sur la probité de ceux qui vous informent, il avait probablement d'autres priorités pour eux. Le jour de la publication de la décision de démettre l'ex-DG de l'AND de ses fonctions a circulé comme une traînée de poudre. Si dans sa ville natale il est peu connu ou pas du tout à Djelfa, par contre il est tristement célèbre. Pour la simple raison, il a très mal agit envers la déchèterie qui ramassait et stockait les cartons et papiers. Toute la population y participait après avoir adhéré à l'idée de collecter les déchets solides en particulier le carton et le papier. Melle Leila Bouhali avait fait l'unanimité chez les citoyens de la wilaya de Djelfa. Les administrations, les commerçants et surtout les associations de protection de l'environnement agissent par militantisme.