La Coordination juridique internationale: "Unis contre les crimes sionistes" a vu le jour, samedi à Alger, dans l'objectif de coordonner les actions entre toutes les institutions, instances, unions et syndicats spécialisés dans les poursuites juridiques contre les criminels sionistes dans les tribunaux et les institutions internationales concernées. Créée lors de la Conférence internationale organisée par l'Association algérienne "El Baraka" à Alger, en présence des conseillers juridiques et défenseurs de la cause palestinienne issus de 52 Etats de par le monde, la Coordination juridique internationale veille à lever la qualification de +terroriste+ sur les mouvements de résistance contre l'occupant sioniste, car ils visent l'autodétermination conformément aux traités internationaux et décisions de la légalité internationale ainsi qu'à créer un observatoire des archives palestiniennes pour la documentation des crimes de l'occupant sioniste contre les personnes, les lieux saints et les sites archéologiques. Elle oeuvre également à maintenir la conférence ouverte pour faire face juridiquement et judiciairement aux crimes de l'occupant, ainsi qu'à créer une commission présidée par le docteur Youcef Houri, composée des membres parmi les participants pour appeler les instances et les institutions internationales concernées à une rencontre préparatoire pour mettre en place un cadre de coordination et d'échange d'expertises et de répartition des tâches. Lire la suite: Un ministre palestinien appelle à adopter un mécanisme juridique qui permette de poursuivre l'entité sioniste Organisée sous le thème "Crimes de l'entité sioniste en Palestine" à laquelle ont pris part le ministre palestinien de la Justice Mohammad Fahad Shalaldeh, l'ambassadeur de la Palestine en Algérie, Amine Makboul et le représentant de Hamas en Algérie, Abou Al Bara, la Conférence a débouché sur la création d'un front mondial face à la politique de ségrégation raciale dans les territoires palestiniens occupés. Les recommandations ont appelé à la levée immédiate du blocus illégal dont les habitants de la bande de Ghaza souffre, mais également à l'arrêt de toutes les formes de normalisation avec l'occupation sioniste et la mise en place d'une cour pénale pour poursuivre les dirigeants de l'occupant pour ces crimes. Les participants à cette conférence ont appelé la communauté internationale à faire des pas pratiques conformément à leurs engagements en vue d'amener les autorités sionistes à respecter ses engagements et à arrêter leurs violations contre les Palestiniens.