Le cirque Amar ou Il Florilegio se trouve en Algérie après deux ans d'absence pour une tournée dans une vingtaine de wilayas et qui sera marquée, cette fois-ci, par un nouveau spectacle sur le thème de l'eau, a indiqué mardi à Alger la directrice-adjointe du cirque Isabelle Gillier.Dans le cadre de cette tournée, qui a déjà commencé en septembre à l'est du pays, à savoir Skikda, El-Tarf, Souk Ahras et actuellement à Oum El-Bouaghi, le cirque sera à Alger en avril prochain, a expliqué Mme Gillier lors d'une conférence de presse. Cet événement, qui est à sa quatrième édition en Algérie, sera marqué par un nouveau show "complètement inédit" sur le thème de l'eau et qui comprendra, en outre, un spectacle d'otaries qui ont intégré récemment la grande famille du cirque.Sous un chapiteau de 1.500 places, qui constitue un véritable théâtre ambulant et avec un prix qui variera entre 600 et 1000 DA, le grand public algérien et spécialement les enfants pourront admirer, en deux heures entières, les numéros spectaculaires donnés par les funambules "motocyclistes de la mort", les clowns, les magiciens et les acrobates chinois qui réaliseront un spectacle mano à mano.En plus des grands classiques et pour le grand bonheur des petits, des spectacles d'animaux sont également au menu, tels que les fauves, les crocodiles, les zèbres ainsi que les nouvelles stars de cette édition, les otaries. S'agissant du retour du cirque Amar en Algérie, après deux ans d'absence, Mme Gillier a affirmé que cette action a été possible grâce à "la volonté des autorités algériennes et l'engouement inégalé de la population" qui vient, à chaque fois, en grand nombre pour apprécier les divers numéros et exhibitions présentés par les animateurs du cirque. "Notre présence en Algérie, pour la quatrième fois, est un gage de confiance" a-t-elle estimé, ajoutant que ce retour intervient après une tournée "triomphale" en Syrie et au Liban.Revenant sur les tarifs fixés, la responsable a indiqué que les prix sont abordables et adaptés au pouvoir d'achat des citoyens, "une politique a laquelle vient s'ajouter une démarche caritative en faveur des plus démunis", a-t-elle souligné.
