Au printemps, Tipasa est habitée par les dieux et les dieux parlent dans le soleil et l'odeur des absinthes, la mer cuirassée d'argent...». C'est par ces mots qu'Albert Camus, grand amoureux de sa ville natale, commence Noces à Tipasa.
A la vue de (...)
A la vue de la nouvelle digue qui vient à la fois agrandir et enserrer l'ancien port et qui se pose comme une muraille séparant les habitants de la ville de leur mer, les dieux risquent de ne plus revenir au printemps. Et pour cause ! Tout visiteur (...)