L'ex-maire de Mascara condamné à 3 ans de prison L'ex-président de l'APC de Mascara, qui a assuré un mandat de 1997 à 2002, sous la bannière du parti RND, actuellement élu du parti FNA au sein de cette même assemblée, a été condamné, mardi dernier par le tribunal de Tighennif, à une peine de 3 ans de prison ferme assortie d'une amende de 2000 DA. Il devra aussi verser une somme de 2 millions de dinars de dommages et intérêts à l'APC de Mascara. « Cette affaire fait suite à une enquête effectuée par la Cour des comptes ; l'accusation portait sur la mauvaise gestion », a-t-on appris d'une source concordante. Trois fonctionnaire de la BEA de Sétif sous les verrous Après plusieurs mois d'investigation et d'enquête, trois fonctionnaires de l'agence BEA 36 de Sétif, incriminés dans l'affaire des comptes devises « vidés » par des mainsindélicates (voir El Watan n°5458 du samedi 10 octobre 2009), viennent d'être placés en détention préventive par le magistrat instructeur qui aurait, nous dit-on, auditionné plus de dix fonctionnaires de l'institution précitée. D'après la même source, le juge d'instruction près le tribunal de Sétif, ayant en outre écouté les clients victimes, poursuit ses recherches. Pour rappel, plusieurs clients détenteurs de comptes devises ont été surpris de découvrir que des grandes sommes d'argent ont été mystérieusement « débitées » par d'indélicates mains. Formation des paramédicaux à Beni Messous L'association algérienne des hémophiles organisera, aujourdhui et demain, au centre hospitalo- universitaire CHU de Beni Messous, une formation au profit du personnel paramédical. Cette rencontre de deux jours, qui est organisée en collaboration avec la Fédération mondiale des hémophiles, regroupera une cinquantaine d'infirmiers et de kinésithérapeutes du pays. L'amélioration de la prise en charge et de la qualité de vie des hémophiles ainsi que la mise en place d'une équipe pluridisciplinaire sont les objectifs visés par cette manifestation, qui sera encadrée par quatre experts algériens et trois autres français. Nedjma lance la nouvelle offre « freee Avec la nouvelle offre « Free » de Nedjma, il est possible de bénéficier tous les jours d'appels gratuits vers Nedjma et du tarif le plus bas du marché pour vos appels vers les autres réseaux mobiles et fixes en Algérie. « Free » vous offre des appels gratuits et illimités vers Nedjma de 6h à 18h pour un rechargement de 1000 DA valable 30 jours et des appels gratuits et illimités 24h/24 vers Nedjma pour un rechargement de 2000 DA valables 30 jours. En plus de la gratuité des appels vers Nedjma, les clients « Free » peuvent profiter pleinement du montant rechargé pour communiquer vers les autres réseaux en Algérie au tarif le plus bas sur le marché. « Free » sera disponible à partir d'aujourd'hui dans les espaces Nedjma, espaces service Nedjma et les points de vente agréés sur l'ensemble du territoire national. En Arabie, pour la Saint Valentin la police religieuse veille A la veille de la Saint Valentin en Arabie Saoudite, les fleuristes prennent soin de cacher les roses rouges. Car, pour la fête des amoureux, la police religieuse veille dans le royaume à l'Islam ultraconservateur. Les magasins de jouets ont bien des ours en peluche rouge et les pâtissiers des boîtes de bonbons en forme de cœur, mais ils sont soigneusement stockés dans les arrière-boutiques, loin des regards. La célébration dans le style occidental de la Saint Valentin avec des cadeaux de couleur rouge, fleurs, jouets ou chocolat est inacceptable pour les autorités saoudiennes. Un photographe américain lauréat du World Press Photo 2008 Un photographe américain, Anthony Suau, est le lauréat du 52e World Press Photo Award 2008 pour un cliché illustrant la crise des subprimes aux Etats-Unis, ont annoncé, hier à Amsterdam, les organisateurs du plus prestigieux concours de photojournalisme. Au total, 5508 photographes ont participé au concours en présentant 96 268 photos. La photo du lauréat, en noir et blanc, a été prise en mars 2008 et publiée par le magazine américain Time. Un policier armé s'assure qu'une maison est bien vide et sans danger, au milieu des biens abandonnés sur place par les propriétaires qui ne pouvaient plus rembourser leur emprunt immobilier.