-L'énigme du Marché Communal d'El Maqaria Le marché communal d'El Maqaria (ex-Leveilley), qui a coûté aux contribuables des centaines de millions de centimes, est toujours fermé. Les étals de fruits et légumes sont vides. A l'extérieur, par contre, les vendeurs informels pullulent. Etalant des marchandises importées (principalement de Chine), des casiers de sardines ou des caisses de fruits et légumes à même le sol, ces marchands ne laissent qu'un infime passage aux riverains, créant ainsi une indescriptible cacophonie. Les commerçants à bord de camionnettes ne sont pas en reste, puisqu'ils obstruent tous les passages menant vers les cités avoisinantes. En dépit de l'existence de plusieurs dizaines d'étals de fruits et légumes et des locaux commerciaux à l'intérieur du marché, les vendeurs à la sauvette préfèrent écouler leur marchandise aux abords du marché. Pendant ce temps, les élus de l'APC se contentent d'observer... -Pas d'éclairage : public à Bachedjarrah L'éclairage public fait défaut dans la localité de Bachedjarrah, plus précisément à proximité du bureau de poste. Les habitants de ce quartier, qui ont pris attache avec notre rédaction, affirment que des coupures récurrentes de courant électrique des candélabres plongent les alentours dans le noir. «Nous avons peur des vols de véhicules et nous craignons les agressions.» -250 DA pour une place de stationnement Les familles et autres couples qui se sont déplacés, la semaine dernière, à Riadh El Feth pour assister à un concert-événement ou pour passer quelques moments de détente et de quiétude, ont été surprises d'avoir à débourser pas moins de 250DA pour une place de stationnement. Face à la saturation des parkings à étages, elles ont dû parquer leur véhicules sur l'esplanade en plein air. Sauf que les jeunes des quartiers environnants ont exigé d'elles 250DA. «C'est le prix à payer. Les policiers sont au courant et nous laissent faire», dit un père de famille.