-Coupures d'eau à Bordj El Bahri Plusieurs quartiers se trouvant au chef-lieu de la commune de Bordj El Bahri ont été, avant-hier, privés d'eau potable durant toute la journée. Rappelons que cette coupure est la deuxième du genre en l'espace de quelques jours seulement. Si la première coupure a été annoncée au préalable par les services de la Seaal, la deuxième n'a fait l'objet d'aucune communication de la part de ces mêmes services, ce qui a pris au dépourvu les habitants des quartiers concernés. Il s'agit des lotissements la Brise Marine, la Terre familiale et du quartier Ben Djaïda. La coupure en question a obligé les habitants de ces quartiers à s'approvisionner en eau potable des quartiers avoisinants. Qui munis de jerricans, qui de bouteilles en plastique s'en allaient vers les ruelles attenantes à leur quartier pour remplir leurs récipients. L'eau n'est revenue dans les robinets qu'en début de soirée, nous ont affirmé les habitants, mais elle était de couleur jaunâtre et avait un goût de terre très prononcé. Il a fallu, nous dit-on, laisser couler l'eau pendant plusieurs minutes pour qu'elle retrouve enfin ses propriétés habituelles. -Une agence CNASat : hors service depuis près d'un mois L'agence N° 126 de la Caisse nationale des assurances sociales et des accidents du travail (Cnasat) de la rue Didouche Mourad, à Alger, est hors service depuis près d'un mois. Et pour cause, un problème de connexion Internet perdure et les services concernés ne semblent pas décider à réparer. Selon nos sources, les employés de cette agence viennent quotidiennement, mais ils ne font rien. Ils passent leur journée à expliquer aux usagers qu'ils ne peuvent rien faire, tous les services étant bloqués en raison de l'absence d'Internet. Selon notre source, un technicien a bel et bien été dépêché dans cette agence, mais sans parvenir à rétablir la connexion. Depuis, les services de tutelle font semblant d'ignorer le problème, au grand dam de centaines de citoyens qui attendent désespérément le règlement du problème. Tout compte fait, les responsables de cette Caisse nationale tournent le dos aux instructions du gouvernement quant à la nécessité d'améliorer le service public. Dans ce cas de figure, le service public n'est pas à améliorer, mais à assurer, puisque le minimum requis n'existe plus depuis plusieurs semaines.