Les livres scolaires tous paliers confondus sont en quantités suffisantes, a indiqué, lundi, le Directeur Régional de l'Office des Publications Scolaires qui est chargé territorialement de couvrir les besoins et de doter en manuels les établissements situés au sud et à l'Ouest de la wilaya qui lui sont rattachés. Selon M. Chenini, «depuis le mois d'avril dernier, à une semaine de la rentrée scolaire, un quota de 2,2 millions de manuels scolaires ont été répartis entre 37 lycées, 85 CEM, et plus de 300 écoliers qui relèvent de ce centre de distribution que gère de l'Office. Même le nouveau manuel, qui a été édité en français pour les élèves de 4ème année, est largement disponible dans les établissements». T. K. Deux autres trémies en projet
Les services de travaux publics de la wilaya d'Oran s'apprêtent à lancer les projets de réalisation de nouvelles trémies dans le but de désengorger la circulation sur les zones périphériques. C'est ce qui a été indiqué de sources proches de cette structure, ajoutant qu'il s'agit, entre autres, de 02 nouveaux ouvrages d'art qui seront implantés sur le 4ème boulevard périphérique reliant le secteur urbain El Menzah à la localité d'Es-Sénia, ainsi que sur le point de circulation reliant le pôle universitaire de Belgaïd au boulevard du Millenium. Avec ces deux nouvelles trémies, Oran comptera un total de 11 structures de ce genre. A. Y. Un nouveau marché à Arzew
Un projet de réalisation d'un marché de proximité est en cours à la cité Ben Boulaïd d'Arzew. Il sera destiné aux commerçants informels qui occupent les espaces publics et les trottoirs de cette cité populaire. La wilaya d'Oran a inscrit la réalisation de 25 marchés de proximité composés de 24 box chacun pour permettre l'accueil des commerçants informels recensés dans le sillage de la campagne de lutte contre le commerce informel. Zekri S.
Une cité privée d'éclairage public
Passée l'euphorie de l'occupation de leurs nouveaux logements et les transformations qu'ils y effectuèrent, les résidents de la cité des 733 logements CNEP Immo, située à Haï Yasmine, font face actuellement à un premier désagrément, celui caractérisé par l'absence de l'éclairage public. Les lampadaires installés demeurent toujours éteints. La nuit venue plonge ainsi les occupants de cette nouvelle cité dans le noir. Un noir synonyme d'insécurité comme ils l'affirmen : «Nous n'osons pas sortir la nuit de peur de nous faire agresser. Nous avons signalé cette situation aux responsables concernés, mais sans résultat. Nous réclamons donc en urgence l'éclairage de notre cité». Il faut dire qu'avant son occupation, cette cité longtemps désertée était considérée comme un véritable coupe-gorge de par les nombreuses agressions qui y ont été commises. H. S.
L'incivisme pointé du doigt
La saison estivale touche à sa fin mais les plages et les lieux de loisirs ne désemplissent pas pour autant à Oran. Le week-end dernier, les plages ont été prises d'assaut par les vacanciers. Toutefois, force est de constater que certains estivants manquent cruellement de civisme, ils ne respectent pas l'hygiène. Ils jettent leurs déchets sur le sable au vu et au su de tout le monde sans aucun remords. «Cap Falcon est une plage calme et familiale mais on constate un amas de déchets qui gâche le paysage et donne une mauvaise image à cette plage et de ses habitants», dit Faïza, mère de 5 enfants, qui habite Cap Falcon depuis maintenant 15 ans. Malgré les efforts fournis pour la sensibilisation de la population pour la propreté des plages, on est bien loin du compte pour que le souhait d'un littoral au sable propre soit une réalité. Des estivants ne prennent pas souvent le temps de penser à leur environnement et leur bien-être afin de profiter des bons moments dans un endroit sain. K. Khadraoui