-Un mouton de l'Aïd tue son propriétaire à Témouchent Le douar Hamadcha, situé sur le plateau qui surplombe l'agglomération de Hassi El Ghella (16km de Témouchent), a connu un atroce drame. En effet, B. A., âgé de 60 ans, père d'une famille nombreuse, a été tué par le mouton qu'il venait d'acheter pour le rituel sacrifice de l'Aïd El adha. La bête a donné un coup de cornes si violent à la tête de son nouveau propriétaire qu'elle l'a étalé dans une marre de sang. Transportée en urgence aux UMC, la victime qui a perdu trop de sang en est morte. -MBII, un centre de test international Formant chaque année près de 250 cadres des secteurs public et privé, MBII (Management business international institute) basé à Sétif, est accrédité par trois organismes de renom dans le domaine des systèmes d'information et langues, à savoir : Person vue (Londres), Prometric et Ets Toefl (USA). Les performances de MBII, dispensant depuis 13 années d'exercice un enseignement de qualité, sont à l'origine de la confiance des institutions qui permettent non seulement à MBII d'accéder à un autre palier, mais également de concurrencer bon nombre d'établissements de la Méditerranée… -L'«optométrie» sans master et agrément Les étudiants en 2e et 3e années de la filière «optométrie», de l'Institut d'optique et mécanique de précision de l'université Sétif I, sont en grève. L'absence d'un master et de débouchés en sont les causes. A l'issue de 3 années de formation sanctionnées par une licence (LMD), les étudiants sont priés de plier bagages. Pour bénéficier d'une post-graduation (Master I et II), les plus chanceux, qui devront dénicher une place à Oran où ils ne sont pas certains d'être acceptés, buteront en outre sur un problème d'agrément qui n'est pas délivré par le ministère de la Santé. Sollicité en octobre 2012 par un jeune diplômé, le département de l'université Boudiaf n'a pas jugé utile de donner une suite. -Des platanes centenaires déracinés à Tlemcen Deux platanes âgés de 150 ans, situés dans l'enceinte de la faculté de médecine, ont été déracinéspar les responsables de l'université Aboubekr Belkaïd. Selon nos informations, pour construire un institut pharmaceutique, le rectorat n'a pas cherché midi à quatorze heures pour sacrifier ces deux arbres plus que centenaires. Selon le président de l'Association pour la sauvegarde et la préservation de l'environnement de la wilaya de Tlemcen (Aspewit), l'ancien wali avait proposé un autre site universitaire pour la réalisation de ce projet, mais une fois ce commis de l'Etat promu ministre, le rectorat a entrepris les travaux, en commençant par couper les arbres qui font partie de l'histoire de la ville. «On a beau défendre l'environnement à Tlemcen, rien n'y fait. On ne va même pas se donner la peine de porter plainte, comme on avait l'habitude de le faire parce que cela ne servirait à rien», affirme, dépité, Morsli Bouayed, le président de l'Aspewit.