- Un bus heurte un dromadaire au sud d'El Ménéa : plusieurs blessés Un nouvel accident, ayant pour cause un dromadaire qui circulait sur l'asphalte, en pleine nuit, dans un virage très prononcé, a eu lieu à 120 km au sud d'El Ménéa, sur la RN51. Samedi à 20h35, un bus qui faisait la navette Adrar-Biskra, avec à son bord 46 passagers, a violemment heurté un dromadaire. Selon les premiers témoignages recueillis du médecin commandant et néanmoins chargé de la cellule de communication de la Protection civile de la wilaya de Ghardaïa, le chauffeur a, malgré le choc, avec un grand sang-froid, essayé de garder le bus sur une trajectoire directe, en vain. Le bus s'est renversé sur le bas côté de la route. Plusieurs blessés ont été acheminés vers les urgences médico-chirurgicales de l'hôpital Colonel Châabani d'El Ménéa. Pour l'heure, aucun décès n'est signalé. Le lieutenant colonel Abdelbaki Ouatouati, directeur de la Protection civile de la wilaya de Ghardaïa, nous dit- on, s'est tout de suite rendu sur place, soit à 390 km au sud du chef-lieu de wilaya Ghardaïa. La question du danger de la circulation des dromadaires le long des routes, notamment la nuit, se pose toujours avec plus d'acuité avec ce nouvel accident. - Ghania Eddalia pressentie comme présidente de l'APN Le FLN a remporté 11 sièges aux élections législatives du 4 mai 2017 sur les treize attribués à la wilaya de Blida. Les deux restants sont au profit du RND. D'après les informations qui circulent, la tête de liste FLN à Blida est pressentie comme présidente de l'APN. Ex-ministre des Relations avec le Parlement, ancienne députée et vice-présidente à l'APN, elle a de fortes chances de présider la Chambre basse , avance-t-on dans les milieux politiques. Si c'est le cas, celle qui est qualifiée de «Rose de Blida», par Djamel Ould Abbès, sera la première femme à la tête de l'APN. - Lacom et les décisions de justice Huit ans après l'arrêt officiel de ses activités dans la téléphonie fixe en Algérie, Lacom fait encore parler d'elle ! Filiale (à l'époque) d'Orascom et d'Egyptian Telecom, les problèmes «laissés» par cet opérateur après la cessation de ses activités resurgissent à nouveau. En effet, plusieurs personnes ayant loué des espaces pour la pose du matériel de l'entreprise défunte (antennes, switch…), se disent victimes de ce qu'ils qualifient d'«escroquerie» qui dure dans le temps, et ce, même si les instances judiciaires avaient exigé leur indemnisation. «De 2009 à 2015, 7 grosses exécutoires, émanant notamment du tribunal de Blida, sont en ma faveur, elles exigent mon paiement à hauteur de 10 milliards et 945 millions de centimes. A ce jour, rien n'est encore fait, sous prétexte qu'il n'y a pas un représentant de Lacom qui puisse m'indemniser. C'est grave ! Où est l'Etat ? Et dire que je ne suis pas le seul à être victime de cet opérateur», regrette Hamouda Boularas Kamel, qui était lié à Lacom par des contrats de travail à Blida.