L'Algérie, selon les intervenant à la troisième rencontre régionale pour l'information et la formation sur la prévention contre le virus HIV en milieu scolaire, organisé au CEM Bachir Ben Nacer à Biskra, est parmi les pays qui contrôlent la propagation de cette maladie et ce, par la mise en place d'institution spécialisées. Toutefois, ceci ne veut pas dire que l'Algérie est à l'abri de ce fléau du siècle. Selon les statistiques officielles, il y a 4000 cas de porteurs de virus HIV en Algérie et 1000 séropositifs. Selon les spécialistes intervenant pou l'occasion, le premier cas dans le pays a été détecté en 1985. a l'époque, le cas a été considéré comme importé de l'étranger. Alors qu'entre 2007 et 2008, les institutions spécialisées ont enregistrés que les cas étaient transmit et non importés. Le Docteur Aït Oubli a déclaré que les causes de la propagation du SIDA seraient dues aux drogues injectables ainsi que l'émigration clandestine à l'intérieur comme à l'extérieur du pays. L'Etat, selon lui, contrôle le fléau grâce à son engagement politique, essentiellement après le sommet d'Abudja en 2001.