Benyounès : « Les Algériens auront un choc psychologique » « Les Algériens auront un choc psychologique quand ils constateront la propreté de leur pays prochainement. Je crois qu'on pourra nettoyer l'Algérie. Il y a un programme spécial qui a été déjà lancé. Sur le terrain, très prochainement, les Algériens verront un changement radical de l'environnement notamment dans les grandes villes et au fur et à mesure, nous allons avancer. Dans les prochaines semaines, je pense que nous allons nettoyer le pays pour que les citoyens puissent vivre dans un environnement sain et digne. En deux ans, nous ferons ce que nous pourrons. Ça ne sera pas une opération conjoncturelle. Tout le monde sera impliqué. Nous n'avons pas de problème de moyens que nous allons mettre à la disposition de tous ceux qui veulent concourir à l'amélioration de l'environnement du pays ». Ziari : « Le médicament constitue notre priorité » « Le secteur du médicament constitue notre priorité. Ce dossier est pris en charge actuellement. En ce qui concerne les mouvements de grève, j'insiste à dire que le dialogue est ouvert avec les concernés. Le dialogue social n'est pas conjoncturel. Tous les travailleurs auront leurs droits, sauf que certaines questions seront réglées de manière urgente et d'autres graduellement. J'avais déclaré dès mon installation en tant que ministre que les portes de mon département resteront ouvertes. Je tiens à souligner que certaines organisations syndicales ne sont pas représentatives ». K. A. Djoudi : « Le PLF 2013 prévoit une croissance supérieure à 5% » « Le budget de 2013 table sur une croissance supérieure à 5%, une inflation autour de 4% (même taux de 2012), un taux de change de 76 dinars pour un dollar (contre 74 DA/dollar en 2012) », a déclaré, hier, M. Djoudi. Le PLF 2013 maintiendra le baril de référence de pétrole à 37 dollars, a-t-il confirmé. Ce prix est celui retenu pour le plan quinquennal 2010-2014. Quant au déficit budgétaire prévisionnel, il sera autour de 17-18% en 2013 contre près de 28% dans la LFC 2012 et 34% en 2011. Le déficit budgétaire réel est, toutefois, beaucoup plus inférieur généralement, tournant autour de 10 à 11% annuellement. Benbada : « Le taux des marchés informels éliminés ne dépasse pas 30% » Le ministre du Commerce, Mustapha Benbada, a annoncé, hier, ue le taux des marchés informels éliminés ne dépasse pas 30%. « Un travail énorme attend le gouvernement pour éradiquer ce qui reste de ces marchés », a-t-il ajouté. « L'opération de résorption des marchés informels a débuté au niveau des grands sites où le commerce constitue un danger pour la santé du citoyen, l'environnement et l'économie de proximité », a déclaré le premier responsable du secteur. « Cette opération sera élargie à tous les marchés informels, à travers le territoire national », a-t-il ajouté. M. Benbada a souligné que la résorption de ce phénomène sera accompagnée d'un programme de prise en charge des commerçants illégaux.