La commission électorale égyptienne a annoncé, hier, qu'elle allait préparer un « nouveau calendrier » pour les élections législatives, qui devaient se dérouler entre le 21 mars et le 7 mai. Cette décision a été prise après que la justice ait considéré, dans la matinée, anticonstitutionnelle la loi les organisant. Les dispositions jugées anticonstitutionnelles vont être revues et « il y aura un nouveau calendrier » pour l'organisation du scrutin, a indiqué la commission, sans préciser la durée du report.