Il sera question de dégager une nouvelle forme de gestion. « Nous ne voulons pas éliminer les subventions de l'Etat mais d'adopter une politique de rationalisation qui s'impose d'elle-même », a-t-il afirmé. A propos des inscriptions des nouveaux bacheliers, Hadjar s'est félicité du déroulement de l'opération qui a commencé hier. Le nombre de préinscriptions a atteint, en début d'après-midi, 15.299. Le nombre de signatures était de 200.315. Pour cette opération, le ministère a mis en place, pour la première fois, un logiciel dit « Progress » qui permet aux lauréat de s'inscrire via Internet. Ce logiciel aura, également, la tâche de suivre le cursus universitaire de chaque étudiant, de la première à la dernière année. Le ministre a soutenu que l'orientation obéit à un classement qui repose sur quatre paramètres : les vœux exprimés par le titulaire du baccalauréat, la série et les résultats du bac (moyenne générale, mention les note des matières essentielles, les capacités d'accueil des établissements de l'enseignement supérieur ainsi que les circonscriptions géographiques). Hadjar a précisé que son département ne fixe pas la moyenne d'accès à la discipline qui sera décidé selon l'offre et la demande. Dans le cas d'une affectation ne répondant pas à aucun des six choix exprimés dans la fiche de vœux, un document du ministère de l'Enseignement a souligné que le nouveau bachelier peut introduire un recours exclusivement en ligne. Dans ce cas, il doit remplir, en ligne, une fiche de vœux comportant trois choix par ordre décroissant de filières. Là encore, le recours sera traité conformément aux conditions pédagogiques requises au titre de l'année universitaire 2016/2017 et des capacités d'accueil des établissements. Par ailleurs, le ministre de l'Enseignement supérieur a fait savoir que son département envisage le retour au système classique pour la formation des ingénieurs.