Résumé de la 1re partie - Un avion de chasse Phantom F-4 décolle à 1h 30 de la base de Shahrokhi, située à 200 km au sud-ouest de Téhéran, avec pour mission d'aller voir de plus près. Le radar embarqué signale un objet de forme ronde, à 15 000 pieds d'altitude et à 40 miles nautiques de distance. L'avion tente un vol en rase-mottes, mais perd encore l'usage de ses instruments, y compris ses contacts radio. En fait, un objet cylindrique venait de les survoler opérant une poursuite à rebours. La description de ces engins par des pilotes : «Une forme de soucoupe avec un cockpit sphérique.» Les communications rétablies, les contrôleurs affirment ne pas avoir repéré cet objet dont la trajectoire passait au-dessus de leur tour. L'avion rentre à sa base. De l'écoute des enregistrements radio, il ressort que l'ovni sur lequel le pilote avait voulu tirer, faisait au moins 4,5 m de diamètre. Une expédition en hélicoptère le lendemain à l'endroit présumé de l'atterrissage – un lac asséché – où se trouve une maison, permet de recueillir le témoignage des habitants qui ont entendu un bruit terrible et aperçu des flashes de lumière, comme des éclairs. A l'époque, l'aviation iranienne interroge l'US Air Force pour savoir ce qui a ainsi pu «incapaciter» des avions de chasse achetés aux Etats-Unis par le shah, car l'examen des systèmes de tir et de communication après l'incident ne donne aucune raison quant à leurs mauvais fonctionnements. En ce 1er juillet 1965, près de Valensole, Basses Alpes, dans le sud de la France, Maurice Masse, cultivateur, 41 ans, quitte son domicile à 5 heures du matin pour aller travailler, comme il le fait quotidiennement, dans son champ de lavande, situé à 2 km de là. Cette lavande, il la distille pour l'industrie des parfums. Or, depuis une semaine environ, il constate des dégradations, «comme si quelqu'un, chaque nuit, venait prendre des échantillons de lavandin» ! Avant de se mettre à l'œuvre, il grille une cigarette à l'ombre d'un petit monticule de pierres quand, tout à coup, son attention est attirée par un bruit étrange : un sifflement. Il pense avoir affaire à l'un des hélicoptères militaires qui, au cours de leurs exercices, atterrissent parfois ici. Ou alors va-t-il «prendre la main dans le sac» son voleur ? Ayant contourné le monticule, il découvre, à environ 90 mètres de distance, une «machine» qui n'a rien d'un hélicoptère ni d'un aéronef d'aucune sorte qu'il connaît, l'engin a la forme d'un ballon de rugby avec une coupole en dessus, sa taille est celle d'une automobile type «Dauphine» et il repose sur six pattes fines avec, au centre, un support central qui évoque un tuyau de poêle ! (A suivre...)