Avant de clore son intervention, le président Raouraoua est revenu sur les derniers déplacements de l?équipe nationale et les problèmes avec la presse sportive qui, lors du dernier voyage, s?est résumée à quatre organes. Raouraoua expliquera que cela est dû au nouvel appareil affecté à la délégation algérienne par Air Algérie et qui n?a que 100 places, ce qui veut dire que le nombre de représentants de la presse sera réduit. La couverture sera dorénavant tournante, indiquera-t-il, c?est-à-dire qu?à chaque fois il y aura un lot de représentants différent. Il donnera quelques détails sur ce qui s?est passé pour le voyage au Zimbabwe où la FAF ne pouvait, en aucun cas, prendre en charge les 500 dollars/personne exigés par la fédération de ce pays pour la couverture médiatique. Raouraoua s?est dit disposé, encore une fois, à aider les journalistes en toute circonstance, mais pas à n?importe quelle condition (certains se sont même déplacés avec 100 euros en proche !), car cela nuit à la corporation et à l?image de l?Algérie. Alors que lors du récent voyage à Abuja, la compagnie aérienne avait exigé 300 millions de centimes supplémentaires pour affecter un autre appareil pouvant contenir 20 journalistes supplémentaires, la FAF n?a pas le sou pour cela.