Naâma : Le corps sans vie de D. S., 30 ans, commerçant, a été découvert au lieudit Khebaza, présentant des traces de violences. Après investigations, la brigade de Gendarmerie nationale locale a identifié et procédé à l?arrestation des auteurs présumés en l?occurrence B.R. 26 ans, D.D. 33 ans, B.A.O. 29 ans, commerçants, et T. A. 35 ans, infirmier. Chlef : La jeune A.F., âgée de 20 ans, s?est présentée à la brigade de Gendarmerie nationale de Taougrit pour déclarer avoir été enlevée, durant le mois de mai 2002 dans la commune de Aïn Merane par un groupe de 10 individus, dont B. A. M. (26 ans), et séquestrée dans un café sis à la Bocaât El-Mizab de la même commune, appartenant à son ravisseur, où elle a été violée à maintes reprises. Une perquisition dans ledit café a permis la découverte d?un abri renfermant deux armes blanches, un étui pour fusil de chasse et une grenade lacrymogène. En revanche, les investigations ont permis d?établir que la plaignante vivait en concubinage avec B. A. M. ; ayant appris que ce dernier voulait la quitter, elle a monté de toutes pièces un scénario. Vietnam : La volonté des autorités vietnamiennes de réduire le nombre d'accidents de la route a pris une tournure singulière, avec l'inculpation d'un piéton, poursuivi pour infraction à la sécurité routière. Dans un pays où le Code de la route est plus indicatif qu'impératif, et où beaucoup de permis de conduire sont achetés à des fonctionnaires corrompus, Ngo Thi My Lien, 24 ans, est la première piétonne jamais poursuivie pour sa responsabilité dans un accident, selon le quotidien Thanh Nien. Le 17 juillet 2003, la jeune femme avait traversé une route divisée par un séparateur central en béton, dans un quartier de Ho-Chi-Minh-Ville (sud), rapporte le journal. Un motocycliste l'avait percutée et avait succombé à ses blessures. Un message qui concernera aussi les vélos en contresens sur l'autoroute et autres joueurs de cartes assis sur la chaussée. Près de 13 000 personnes sont mortes dans des accidents de la route en 2002. France : Un automobiliste et son passager, qui avait pris le volant après lui, ont fait l'objet d'un retrait de permis de conduire après avoir été contrôlés tous les deux, à quelques minutes d'intervalle, pour excès de vitesse. Le premier automobiliste a été contrôlé dimanche soir à Vebret par la brigade motorisée de Mauriac, à 179 km/h sur une route où la vitesse était limitée à 90 km/h. Son permis lui a été retiré et son passager s'est installé au volant. Quelques minutes plus tard, ce dernier a été contrôlé à son tour à 163 km/h, sur la même route, mais dans l'autre sens. Le véhicule a finalement été immobilisé et les deux hommes seront jugés en décembre par le tribunal de police de Mauriac.