n Dans le souci de connaître la position de l'autre partie en conflit et de la tutelle, nous avons tenté de joindre l'entreprise Naftal et le ministère de l'Energie et des Mines, mais toutes nos tentatives ont été infructueuses. Sur invitation du directeur commercial de Naftal, Sadek Bakir, nous nous sommes déplacés au siège de la direction générale, à Chéraga. Le même responsable nous oriente alors vers la cellule de communication de l'entreprise, mais, là, silence radio. «Il vient de sortir», nous apprend la secrétaire du responsable de la communication, M. Cherdoud, que nous avons tenté de joindre par téléphone à plusieurs reprises. «Il est sorti, rappelez dans quelques instants», «il vient juste de sortir», nous répondait à chaque fois la secrétaire. Du côté du ministère de l'Energie et des Mines, nous avons tenté de joindre les deux responsables ayant assisté au dialogue entre Naftal et la Fédération des exploitants libres des stations-service, en l'occurrence MM. Akrèche et Belhacine. Là aussi, black-out et interrogations…