Alger : Quatre ressortissants africains de différentes nationalités ont été interpellés à l?hôtel du Marché sis à Alger-Centre par les éléments de la gendarmerie. Ils étaient en possession de divers produits servant à la contrefaçon de la monnaie, du papier coupé au format de billets de banque, de monnaie authentique en devises et en dinars. Mostaganem : Un boucher de Sidi Ali (Mostaganem), qui avait violemment pris à partie dernièrement la vétérinaire de l'abattoir du village, a été écroué pour outrage à fonctionnaire, a-t-on appris de source proche de l'inspection vétérinaire de la wilaya. Le mis en cause, a-t-on précisé, aurait été surpris par sa protagoniste en flagrant délit de tentative d'oblitération d'une carcasse de viande de chèvre à l'aide de l'estampille réservée à l'agneau. - Un jeune homme de dix-huit ans a trouvé la mort, mardi dernier, à quelques minutes de l'heure du f'tour après que le tracteur, qui le transportait en compagnie de plusieurs de ses proches, se fut violemment renversé non loin du douar Souaïla dans la commune de Sidi Belatar (Mostaganem). Selon le services de la Protection civile, trois blessés, sérieusement atteints, sont également à déplorer dans cet accident. France : Didier Leroux, 41 ans, comparaît depuis mercredi devant la cour d'assises de Seine-et-Marne pour avoir tué de soixante coups de couteau Priscillia Ciatti, 14 ans et demi, la fille d'anciens voisins devenus amis, en s'inspirant du scénario du film d'horreur Scream. Tout au long de l'instruction, l'accusé, obsédé par le physique de la jeune fille, a expliqué avoir préparé son geste de longue date. Il risque la prison à perpétuité. Le drame s'est déroulé le jeudi 8 février 2001, dans la ferme familiale, isolée au milieu des champs dans le village. L'accusé avait déjà été mis en cause dans des affaires d'exhibition sexuelle, mais jamais condamné. - La gardienne de la paix stagiaire, qui avait été frappée en juillet 2002 dans la cité des Pommiers à Pantin, a déclaré que son agression «avait changé toute sa vie», même si elle souhaite plus que tout «retourner sur le terrain». Avec le procès des agresseurs, Elisabeth «espérait plus de reconnaissance des faits parce qu'on n'a pas inventé ce qui s'est passé, là-dessus il n'y a rien à remettre en cause». La policière stagiaire a estimé qu'«on va dire que c'est une fille, elle est dans la police, elle est un peu fleur bleue». «Il y a certains éléments dans les cités ou ailleurs qui sont des éléments pourris qu'on n'arrivera jamais à récupérer (...) Ce n'est pas le cas de tous», a-t-elle conclu. Le tribunal correctionnel de Bobigny (Seine-Saint-Denis) rendra son jugement à l'encontre de deux hommes accusés d'avoir agressé la jeune femme et deux autres policiers en juillet 2002 à Pantin.