A l'occasion d'un entretien accordé à RMC ce vendredi, Courbis a expliqué pourquoi cela ne s'est pas fait avec la fédération algérienne. "La durée de mon contrat devait être de vingt mois... mais résiliable tous les mois, sans aucune indemnité ! C'est-à-dire que si j'acceptais le challenge algérien, c'est comme si j'acceptais un contrat d'un mois renouvelable, a-t-il révélé. Si tu parles à un joueur avant un match important et qu'il est au courant que si tu perds, ton contrat peut être résilié, tu n'as pas la même autorité, je suis désolé". L'autre raison c'est le volet financier. L'ancien coach de Montpellier s'est vu proposé un salaire de 80000 euros par mois. Un salaire qu'il devait diviser s'il voulait venir avec des adjoints. Or, c'est justement l'idée qu'il a soumise. "Effectivement, il y a eu la possibilité que je puisse aller en Algérie mais nous ne sommes pas tombés d'accord pour des raisons financières. J'ai entendu parler d'un salaire de 80 000 euros par mois. C'est vrai, mais ce salaire était une enveloppe qui comprenait trois salaires, dont le mien. Avec un adjoint qui restait discret, mais à partir du moment où aujourd'hui c'est écrit dans certains journaux algériens... J'arrivais avec un adjoint qui est un ancien joueur de l'équipe de France". Des propos relayés par Goal.