C'est, désormais, une réalité, le pays s'oriente dans le cadre du plan d'action tracé par le gouvernement, à reconstituer une économie nationale pour faire face à la concurrence nationale et à assurer son indépendance économique. Ce type de stratégie a besoin de plus d'investissements et de résultats pour venir influencer les "décisions" à prendre dans cette voie de développement. Un sujet qui devrait susciter un fort intérêt et le réajustement des efforts afin que s'exerce une nette croissance et un mieux être des populations. Le programme quinquennal 2010/14 est maintenant considéré comme une référence des plus fondamentales et de convergence tant il comporte un contenu clé pour la promotion de cette "réalité" économique. Une condition majeure à l'acquisition de la stabilité et au renforcement de la cohésion sociale. L'objectif principal étant la "promotion" la plus large. Dans le contexte actuel de la mondialisation, il est naturel pour le pays de conforter les liens entre la libéralisation de son marché et la croissance économique et singulièrement à trouver les "supports" nécessaires à l'impact positif et significatif de cette politique sur le vécu direct des citoyens. Par ailleurs, les indices économiques à réaliser, sous le titre des investissements publics, viennent sans aucun doute renforcer l'idée qu'une telle option de développement est efficace et rentable. Une réponse claire et définitive sur l'évidence du développement durable dont les axes empiriques signifiant l'ensemble des effets positifs, et sur des indicateurs de mesure et de consolidation. L'engagement pertinent à reconstituer l'économie nationale sur des socles solides est à prendre en considération au regard de la stabilité dans ce secteur que politique, des infrastructures de plus en plus renforcées et adéquates. Ces éléments, et beaucoup d'autres, constituent un "énorme" acquis pour faire progresser le développement en question. Le taux de croissance régénéré annuellement par le pays, le distingue en Afrique en rapport à ses ressources d'hydrocarbures. Des revenus qui sont mis à la disposition des différents secteurs de développement, mais dans une optique et des perspectives de croissance économique, qui ne seront plus dominées par les recettes pétrolières. Une orientation des revenus vers des secteurs de production plus efficients allant vers le bien-être. Dans une telle stratégie, c'est dans le renforcement de la croissance qu'il est permis de venir "chercher" les profits dynamiques. Dans un tel cadre également, les changements préconisés sont à assumer par tous, surtout que les réformes en vigueur sont considérées comme des instruments de "fortes" sources de croissance. Il devient donc possible de combiner la nouvelle forme de développement économique et celle d'une croissance endogène, tout en permettant à l'économie nationale de contribuer à sa propre sortie du traditionnel et de son sous- développement en matière de production et de productivité, et, de fait, emprunter les voies d'ouverture appropriées. B. C.