L'ambassadeur d'Italie, Gianpaolo Cantini, a qualifié de «contraintes» les nouvelles dispositions de la loi de finances complémentaire auxquelles «il faudra s'adapter pour préserver la qualité de la coopération bilatérale». Son excellence, accompagné de deux responsables de la chambre de commerce italienne, était, hier, l'hôte de constantine. Une visite de prospection en vue d'élargir l'éventail du partenariat et qui sera ponctuée par des rencontres avec le wali et plusieurs opérateurs économiques locaux dont certains sont déjà en «affaire» avec des entreprises italiennes. L'Italie, qui est un grand client en matière d'importation des hydrocarbures algériens, rappellera l'ambassadeur, vise d'autres créneaux à investir à l'Est du pays où elle est présente en force. Plusieurs projets, notamment, des infrastructures portuaires, y ont été réalisés à Annaba, Skikda et Jijel. A Constantine, celui du tramway, d'un coût de 330 millions d'euros est confié à la firme Pizzarotti. Le Plan de modernisation de la troisième ville du pays suscite aussi l'intérêt des entrepreneurs italiens. Les discussions avec le chef de l'exécutif autour de ce projet laisse supposer des possibilités de partenariat. Dans le secteur de l'habitat, qui engloutit des milliards chaque année, l'Italie ambitionne quelques investissements et propose d'y apporter son savoir faire et son experience.Idem pour le recyclage du papier où une éventuelle participation pour la reprise de l'entreprise Tonic semble se profiler à l'horizon. Conformément à un accord paraphé par les deux pays, l'Italie procédera à l'effacement d'une dette algérienne de 10 millions d'euros, selon la délégation diplomatique. Un procédé que le partenaire italien souhaiterait mettre à profit dans des créneaux d'intérêt bilatéral. Naima Djekhar L'ambassadeur d'Italie, Gianpaolo Cantini, a qualifié de «contraintes» les nouvelles dispositions de la loi de finances complémentaire auxquelles «il faudra s'adapter pour préserver la qualité de la coopération bilatérale». Son excellence, accompagné de deux responsables de la chambre de commerce italienne, était, hier, l'hôte de constantine. Une visite de prospection en vue d'élargir l'éventail du partenariat et qui sera ponctuée par des rencontres avec le wali et plusieurs opérateurs économiques locaux dont certains sont déjà en «affaire» avec des entreprises italiennes. L'Italie, qui est un grand client en matière d'importation des hydrocarbures algériens, rappellera l'ambassadeur, vise d'autres créneaux à investir à l'Est du pays où elle est présente en force. Plusieurs projets, notamment, des infrastructures portuaires, y ont été réalisés à Annaba, Skikda et Jijel. A Constantine, celui du tramway, d'un coût de 330 millions d'euros est confié à la firme Pizzarotti. Le Plan de modernisation de la troisième ville du pays suscite aussi l'intérêt des entrepreneurs italiens. Les discussions avec le chef de l'exécutif autour de ce projet laisse supposer des possibilités de partenariat. Dans le secteur de l'habitat, qui engloutit des milliards chaque année, l'Italie ambitionne quelques investissements et propose d'y apporter son savoir faire et son experience.Idem pour le recyclage du papier où une éventuelle participation pour la reprise de l'entreprise Tonic semble se profiler à l'horizon. Conformément à un accord paraphé par les deux pays, l'Italie procédera à l'effacement d'une dette algérienne de 10 millions d'euros, selon la délégation diplomatique. Un procédé que le partenaire italien souhaiterait mettre à profit dans des créneaux d'intérêt bilatéral. Naima Djekhar