Des restrictions ont été imposées par l'armée nigériane aux mouvements de ses soldats en raison d'une "tension" qu'a connue le pays liée aux derniers affrontements intercommunautaires de Jos (centre) qui ont fait plus de 500 morts, a déclaré un responsable militaire. «Nous avons des informations selon lesquelles certaines personnes tentent d'infiltrer nos rangs. Nous voulons contrôler le mouvement des troupes pour les protéger contre ceux qui voudraient se servir d'eux et nous souhaitons protéger notre système politique", a déclaré à la presse un chef de l'armée de terre, le lieutenant-général Abdulrahman Danbazzau. "Il ne s'agit pas d'une interdiction totale", a précisé ce responsable militaire qui a fait état de "tentatives visant à entraîner l'armée dans les batailles politiques du pays". "Nous savons qu'il y a une certaine tension dans le pays", a ajouté M. Danbazzau. Lundi, 61 nouveaux cadavres ont été découverts dans deux localités près de la ville de Jos où s'étaient produits les affrontements interethniques, a indiqué un responsable. Le bilan des victimes de ces heurts s'est élevé à plus de 500 morts, selon des sources médicales et humanitaires. La semaine dernière, les forces armées se sont déployées dans cette région pour aider à rétablir l'ordre et étaient toujours sur place lundi. Des restrictions ont été imposées par l'armée nigériane aux mouvements de ses soldats en raison d'une "tension" qu'a connue le pays liée aux derniers affrontements intercommunautaires de Jos (centre) qui ont fait plus de 500 morts, a déclaré un responsable militaire. «Nous avons des informations selon lesquelles certaines personnes tentent d'infiltrer nos rangs. Nous voulons contrôler le mouvement des troupes pour les protéger contre ceux qui voudraient se servir d'eux et nous souhaitons protéger notre système politique", a déclaré à la presse un chef de l'armée de terre, le lieutenant-général Abdulrahman Danbazzau. "Il ne s'agit pas d'une interdiction totale", a précisé ce responsable militaire qui a fait état de "tentatives visant à entraîner l'armée dans les batailles politiques du pays". "Nous savons qu'il y a une certaine tension dans le pays", a ajouté M. Danbazzau. Lundi, 61 nouveaux cadavres ont été découverts dans deux localités près de la ville de Jos où s'étaient produits les affrontements interethniques, a indiqué un responsable. Le bilan des victimes de ces heurts s'est élevé à plus de 500 morts, selon des sources médicales et humanitaires. La semaine dernière, les forces armées se sont déployées dans cette région pour aider à rétablir l'ordre et étaient toujours sur place lundi.