"Il y a 52 ans, Sakiet Sidi Youcef a connu la plus grande des épopées dans l'histoire de nos deux peuples frères dont le sang s'est mêlé en terre bénie de Tunisie, scellant des liens solides et une solidarité sans faille et consacrant à jamais la communauté de leur destin". "Il y a 52 ans, Sakiet Sidi Youcef a connu la plus grande des épopées dans l'histoire de nos deux peuples frères dont le sang s'est mêlé en terre bénie de Tunisie, scellant des liens solides et une solidarité sans faille et consacrant à jamais la communauté de leur destin". Comme chaque 8 février l'Algérie et la Tunisie commémorent l'anniversaire des bombardements, par l'aviation française, de ce paisible village tunisien frontalier qui a été complètement détruit. Ce raid meurtrier, opéré en début d'après-midi, a causé la mort de 62 civils et 130 personnes ont été blessées. Le sang des deux peuples frères s'est mêlé à la «faveur» de ce bombardement qui, selon la version de la France coloniale, est un acte de représailles car le matin même un avion de reconnaissance français a été touché par des tirs de l'Armée de libération nationale (ALN). Et comme chaque année les présidents de deux pays tiennent à se rappeler ce douloureux moment historique qui n'a fait, en vérité, que consolider davantage les liens de fraternité entre les deux peuples. "Il y a 52 ans, Sakiet Sidi Youcef a connu la plus grande des épopées dans l'histoire de nos deux peuples frères dont le sang s'est mêlé en terre bénie de Tunisie scellant des liens solides et une solidarité sans faille et consacrant à jamais la communauté de leur destin", indique le président de la République dans un message adressé à son homologue tunisien. Pour Abdelaziz Bouteflila, "cet évènement mémorable constitue une importante source d'inspiration pour les générations montantes qui les encouragent à consolider leur solidarité et leur cohésion pour l'édification de leurs deux pays unis par des relations privilégiées". Ce qui, aux yeux du chef de l‘Etat, représente incontestablement "la preuve irréfutable de l'authenticité des liens de fraternité qui unissent les deux peuples algérien et tunisien". Bouteflila estime aussi que ces événements "resteront, l'une des plus grandes épopées qui unissent le deux peuples frères". De son côté le président tunisien n'a pas manqué, lui aussi, de mettre en exergue la portée de ces événements qui "resteront une page glorieuse dans l'histoire de nos deux pays, riche en sacrifices et en hauts faits et un symbole d'entraide et de solidarité entre nos deux peuples frères". Dans un message qu'il a adressé à son homologue algérien, Zine El Abidine Ben Ali déclare que " tout en nous remémorons, en cet anniversaire, les sacrifices de nos valeureux martyrs et leur lutte pour la liberté et la dignité, nous nous recueillons aujourd'hui avec humilité à leur mémoire en signe de concrétisation des liens de fraternité et de solidarité qui unissent nos deux pays". Un peu plus tourné vers l'avenir il considère que cette "communauté de destin qui nous incite à l'action commune afin de hisser les relations de fraternité et de coopération qui existent entre nos deux pays au plus haut niveau dans le sens de la concrétisation des ambitions de nos deux peuples vers le progrès et la prospérité aux fins de consolider l'édifice de notre Maghreb arabe et de dynamiser son processus pour le bien et l'intérêt des peuples de la région toute entière". K. H. Comme chaque 8 février l'Algérie et la Tunisie commémorent l'anniversaire des bombardements, par l'aviation française, de ce paisible village tunisien frontalier qui a été complètement détruit. Ce raid meurtrier, opéré en début d'après-midi, a causé la mort de 62 civils et 130 personnes ont été blessées. Le sang des deux peuples frères s'est mêlé à la «faveur» de ce bombardement qui, selon la version de la France coloniale, est un acte de représailles car le matin même un avion de reconnaissance français a été touché par des tirs de l'Armée de libération nationale (ALN). Et comme chaque année les présidents de deux pays tiennent à se rappeler ce douloureux moment historique qui n'a fait, en vérité, que consolider davantage les liens de fraternité entre les deux peuples. "Il y a 52 ans, Sakiet Sidi Youcef a connu la plus grande des épopées dans l'histoire de nos deux peuples frères dont le sang s'est mêlé en terre bénie de Tunisie scellant des liens solides et une solidarité sans faille et consacrant à jamais la communauté de leur destin", indique le président de la République dans un message adressé à son homologue tunisien. Pour Abdelaziz Bouteflila, "cet évènement mémorable constitue une importante source d'inspiration pour les générations montantes qui les encouragent à consolider leur solidarité et leur cohésion pour l'édification de leurs deux pays unis par des relations privilégiées". Ce qui, aux yeux du chef de l‘Etat, représente incontestablement "la preuve irréfutable de l'authenticité des liens de fraternité qui unissent les deux peuples algérien et tunisien". Bouteflila estime aussi que ces événements "resteront, l'une des plus grandes épopées qui unissent le deux peuples frères". De son côté le président tunisien n'a pas manqué, lui aussi, de mettre en exergue la portée de ces événements qui "resteront une page glorieuse dans l'histoire de nos deux pays, riche en sacrifices et en hauts faits et un symbole d'entraide et de solidarité entre nos deux peuples frères". Dans un message qu'il a adressé à son homologue algérien, Zine El Abidine Ben Ali déclare que " tout en nous remémorons, en cet anniversaire, les sacrifices de nos valeureux martyrs et leur lutte pour la liberté et la dignité, nous nous recueillons aujourd'hui avec humilité à leur mémoire en signe de concrétisation des liens de fraternité et de solidarité qui unissent nos deux pays". Un peu plus tourné vers l'avenir il considère que cette "communauté de destin qui nous incite à l'action commune afin de hisser les relations de fraternité et de coopération qui existent entre nos deux pays au plus haut niveau dans le sens de la concrétisation des ambitions de nos deux peuples vers le progrès et la prospérité aux fins de consolider l'édifice de notre Maghreb arabe et de dynamiser son processus pour le bien et l'intérêt des peuples de la région toute entière". K. H.