La version bêta du portail e-citoyen, www.elmouwatin.dz, annoncé il y a quelques semaines, a enfin été mise en ligne. Cette nouvelle version, plus avancée et performante, offre un accès rapide à l'information administrative de l'Etat, a-t-on indiqué hier à Alger auprès du ministère de la Poste et des Technologies de l'Information et de la Communication. Le portail e-citoyen, qui est une sorte de guichet unique dans ses deux versions, arabe et français, mais en virtuel, est doté d'un contenu varié tel que des annuaires, textes juridiques, services en ligne et une actualité quotidienne, portant sur toutes les informations relatives aux mesures adoptées et/ou annoncées par les pouvoirs publics, a expliqué M. Hocini, directeur de la société de l'information au ministère lors d'une réunion des cadres du secteur. A travers ce portail, le ministère encourage le développement des services en ligne qui visent à rapprocher l'administration du citoyen, a-t-il dit. Dans cette optique, les services en ligne sectoriels sont présents dans le domaine de la poste (consultation du compte CCP), des télécoms en l'occurrence la consultation du téléphone fixe et celle de Mobilis. La e-commune est une des premières actions à entreprendre dans le but de rapprocher le citoyen de sa commune à travers plusieurs services en ligne, une information en temps réel, une interactivité avec le grand public, a suggéré ce responsable. La e-santé (télémédecine) En termes de réalisations dans le secteur des TIC, il est à noter l'introduction de nouveaux services, à l'instar de la «e-santé», avec la télémédecine qui est une des formes de coopération dans l'exercice médical, mettant en rapport et à distance un patient et/ou son médecin avec un ou plusieurs médecins et professionnels de la santé à des fins médicales de diagnostic, de décision, de prise en charge et de traitement dans le respect des règles de la déontologie médicale. Cette pratique en Algérie est appropriée pour l'amélioration de la qualité des soins pour les zones enclavées où le manque de spécialistes de santé est enregistré, a-t-il ajouté. M. B. La version bêta du portail e-citoyen, www.elmouwatin.dz, annoncé il y a quelques semaines, a enfin été mise en ligne. Cette nouvelle version, plus avancée et performante, offre un accès rapide à l'information administrative de l'Etat, a-t-on indiqué hier à Alger auprès du ministère de la Poste et des Technologies de l'Information et de la Communication. Le portail e-citoyen, qui est une sorte de guichet unique dans ses deux versions, arabe et français, mais en virtuel, est doté d'un contenu varié tel que des annuaires, textes juridiques, services en ligne et une actualité quotidienne, portant sur toutes les informations relatives aux mesures adoptées et/ou annoncées par les pouvoirs publics, a expliqué M. Hocini, directeur de la société de l'information au ministère lors d'une réunion des cadres du secteur. A travers ce portail, le ministère encourage le développement des services en ligne qui visent à rapprocher l'administration du citoyen, a-t-il dit. Dans cette optique, les services en ligne sectoriels sont présents dans le domaine de la poste (consultation du compte CCP), des télécoms en l'occurrence la consultation du téléphone fixe et celle de Mobilis. La e-commune est une des premières actions à entreprendre dans le but de rapprocher le citoyen de sa commune à travers plusieurs services en ligne, une information en temps réel, une interactivité avec le grand public, a suggéré ce responsable. La e-santé (télémédecine) En termes de réalisations dans le secteur des TIC, il est à noter l'introduction de nouveaux services, à l'instar de la «e-santé», avec la télémédecine qui est une des formes de coopération dans l'exercice médical, mettant en rapport et à distance un patient et/ou son médecin avec un ou plusieurs médecins et professionnels de la santé à des fins médicales de diagnostic, de décision, de prise en charge et de traitement dans le respect des règles de la déontologie médicale. Cette pratique en Algérie est appropriée pour l'amélioration de la qualité des soins pour les zones enclavées où le manque de spécialistes de santé est enregistré, a-t-il ajouté. M. B.