La réalisation d'un marché de gros de fruits et légumes dans la région de Jijel, répondant aux standards internationaux, attendue depuis des mois, semble être tombé à l'eau au regard du retard pris dans sa concrétisation. La réalisation d'un marché de gros de fruits et légumes dans la région de Jijel, répondant aux standards internationaux, attendue depuis des mois, semble être tombé à l'eau au regard du retard pris dans sa concrétisation. Les exploitants agricoles de Jijel, qui ont accueilli favorablement la nouvelle de l'inscription, il y a plus d'une année, d'un tel projet dans la wilaya, ont vite déchanté avec le temps. Selon nos informations, le projet en question, qui faut-il le souligner a bénéficié d'une enveloppe de 17 milliards de centimes, n'est plus d'actualité aujourd'hui et ne sera pas réalisé dans l'immédiat. La raison invoquée est que les anciens entrepôts de l'ENMTP, dans la zone industrielle de Taher, qui devaient abriter ce marché ont été repris, entre temps, par les services d'un autre secteur autre que celui du commerce pour y installer leur administration. On se rappelle que les autorités locales souhaitaient faire un marché de gros devant impérativement répondre aux normes internationales pour réguler avant tout le marché local et exporter, par la suite, le surplus des produits maraichers de la région vers le marché européen, notamment lorsqu'on sait que la wilaya dispose d'importantes potentialités agricoles. Parmi les deux autres variantes retenues à l'époque pour la réalisation de cette infrastructure, figure la localité de Bazoul, ou bien l'aménagement et l'assainissement pur et simple de l'actuel marché de fruits et légumes de Djimar, relevant de la commune de Chekfa. Ce dernier site, s'étalant sur quelque 3 ha et qui représente une manne financière importante pour les responsables de l'APC de Chekfa, reste dépourvu de toutes les commodités et ne répond guère aux normes commerciales. L'absence d'une telle structure au niveau local a généré une dérégulation du marché local des fruits et légumes, laissant place ainsi aux spéculateurs et autres intermédiaires et, par conséquence, des répercussions sur le pouvoir d'achat des consommateurs. Les exploitants agricoles de Jijel, qui ont accueilli favorablement la nouvelle de l'inscription, il y a plus d'une année, d'un tel projet dans la wilaya, ont vite déchanté avec le temps. Selon nos informations, le projet en question, qui faut-il le souligner a bénéficié d'une enveloppe de 17 milliards de centimes, n'est plus d'actualité aujourd'hui et ne sera pas réalisé dans l'immédiat. La raison invoquée est que les anciens entrepôts de l'ENMTP, dans la zone industrielle de Taher, qui devaient abriter ce marché ont été repris, entre temps, par les services d'un autre secteur autre que celui du commerce pour y installer leur administration. On se rappelle que les autorités locales souhaitaient faire un marché de gros devant impérativement répondre aux normes internationales pour réguler avant tout le marché local et exporter, par la suite, le surplus des produits maraichers de la région vers le marché européen, notamment lorsqu'on sait que la wilaya dispose d'importantes potentialités agricoles. Parmi les deux autres variantes retenues à l'époque pour la réalisation de cette infrastructure, figure la localité de Bazoul, ou bien l'aménagement et l'assainissement pur et simple de l'actuel marché de fruits et légumes de Djimar, relevant de la commune de Chekfa. Ce dernier site, s'étalant sur quelque 3 ha et qui représente une manne financière importante pour les responsables de l'APC de Chekfa, reste dépourvu de toutes les commodités et ne répond guère aux normes commerciales. L'absence d'une telle structure au niveau local a généré une dérégulation du marché local des fruits et légumes, laissant place ainsi aux spéculateurs et autres intermédiaires et, par conséquence, des répercussions sur le pouvoir d'achat des consommateurs.