Après les résultats de la fin du cycle primaire et ceux du BEM, il ne reste plus qu'à attendre ceux du bac pour pouvoir enfin totalement décompresser et profiter des vacances, du moins pour ceux qui auront l'heur de s'éloigener de leurs quartiers populeux et d'un ennui à en mourir. Après les résultats de la fin du cycle primaire et ceux du BEM, il ne reste plus qu'à attendre ceux du bac pour pouvoir enfin totalement décompresser et profiter des vacances, du moins pour ceux qui auront l'heur de s'éloigener de leurs quartiers populeux et d'un ennui à en mourir. Finis les examens et les matchs de l'équipe nationale de football suivis avec passion par des millions de personnes, voici venir le temps de renouer avec la farniente en ce début de vacances d'été qui s'affichent, pleines de retrouvailles, de nouveaux plaisirs, mais aussi d'ennui pour beaucoup. Après l'annonce des résultats de fin du cycle primaire et du BEM, les écoliers se trouvent libres de tout engagement sauf d'aménager leurs temps en fonction de multiples occupations offertes en ce début d'été. La chaleur torride qui commence à s'installer les contraint à se rabattre sur des activités, plus ou moins ludiques, à domicile, à savoir la télé, les jeux vidéo pour certains et pour les plus nantis les jeux en réseau sur Internet. Les enfants de la localité de Lamirate et ceux du site des 13-Hectares, ne peuvent même pas profiter du petit écran les coupurres électriques étant récurrentes dans cette zone. L'unique café du coin accueille les adolescents qui attendent les résultats du bac pour enfin décompresser. Des parties de foot interminables sont organisées à partir de 16h pour dépenser le trop-plein d'énergie sur les prairies verdoyantes de la Mitidja. Non loin de là, les écoliers de Nezali, quartier limitrophe de Sidi Moussa, en l'absence de terrain de jeu et d'infrastructures sportives ou culturelles restent plongés dans la léthargie et viennent ainsi grossir les rangs des innombrables chômeurs squattant les rares espaces publics. Une journée à la plage revient cher à des parents dont le budjet est déjà affolé par l'envolée des prix des produits de première nécessité à l'approche du ramadhan. Les rassemblements bruyants de ces jeunes et enfants ne manquent pas de générer des querelles exacerbées par la chaleur poussant parfois les adultes à intervenir pour calmer les esprits. Ces querelles à répétition ont même poussé l'imam de la localité à faire un prêche sur les règles du bon voisinage et les actes inciviques qui demeurent malheureusement légion : vols, vandalisme... Se rendre à la plage ne fait plus partie des priorités de beaucoup de familles, accoutumées pourtant par le passé à fréquenter en été les plages d'Alger-Est. Seules celles disposant de véhicules s'y rendent en fin d'après-midi pour réduire les frais, et surtout au moment où la chaleur, sévissant dans la Mitidja devient, devient insupportable. Baraki abrite en ce moment plusieurs chantiers visant l'amélioration du cadre de vie des habitants. Cela ne manque pas d'ailleurs d'avoir toute l'approbation des familles. On peut citer dans ce cadre la création de cinq espaces verts dans des quartiers populeux et l'aménagement de terrains de jeu qui viennent ainsi à la rescousse de l'ancien jardin public, lequel attendu sa position au centre-ville draine tous ceux en quête d'un espace de détente, dont les retraités et les personnes âgées, qui s'y prélassent des heures durant. En attendant que tous ces chantiers soient enfin terminés et que chaque quartier de Baraki puisse enfin disposer d'une aire de jeu aménagée, les enfants se languissent déjà de leurs classes trouvant les vacances, à peine entamées, trop longues. Finis les examens et les matchs de l'équipe nationale de football suivis avec passion par des millions de personnes, voici venir le temps de renouer avec la farniente en ce début de vacances d'été qui s'affichent, pleines de retrouvailles, de nouveaux plaisirs, mais aussi d'ennui pour beaucoup. Après l'annonce des résultats de fin du cycle primaire et du BEM, les écoliers se trouvent libres de tout engagement sauf d'aménager leurs temps en fonction de multiples occupations offertes en ce début d'été. La chaleur torride qui commence à s'installer les contraint à se rabattre sur des activités, plus ou moins ludiques, à domicile, à savoir la télé, les jeux vidéo pour certains et pour les plus nantis les jeux en réseau sur Internet. Les enfants de la localité de Lamirate et ceux du site des 13-Hectares, ne peuvent même pas profiter du petit écran les coupurres électriques étant récurrentes dans cette zone. L'unique café du coin accueille les adolescents qui attendent les résultats du bac pour enfin décompresser. Des parties de foot interminables sont organisées à partir de 16h pour dépenser le trop-plein d'énergie sur les prairies verdoyantes de la Mitidja. Non loin de là, les écoliers de Nezali, quartier limitrophe de Sidi Moussa, en l'absence de terrain de jeu et d'infrastructures sportives ou culturelles restent plongés dans la léthargie et viennent ainsi grossir les rangs des innombrables chômeurs squattant les rares espaces publics. Une journée à la plage revient cher à des parents dont le budjet est déjà affolé par l'envolée des prix des produits de première nécessité à l'approche du ramadhan. Les rassemblements bruyants de ces jeunes et enfants ne manquent pas de générer des querelles exacerbées par la chaleur poussant parfois les adultes à intervenir pour calmer les esprits. Ces querelles à répétition ont même poussé l'imam de la localité à faire un prêche sur les règles du bon voisinage et les actes inciviques qui demeurent malheureusement légion : vols, vandalisme... Se rendre à la plage ne fait plus partie des priorités de beaucoup de familles, accoutumées pourtant par le passé à fréquenter en été les plages d'Alger-Est. Seules celles disposant de véhicules s'y rendent en fin d'après-midi pour réduire les frais, et surtout au moment où la chaleur, sévissant dans la Mitidja devient, devient insupportable. Baraki abrite en ce moment plusieurs chantiers visant l'amélioration du cadre de vie des habitants. Cela ne manque pas d'ailleurs d'avoir toute l'approbation des familles. On peut citer dans ce cadre la création de cinq espaces verts dans des quartiers populeux et l'aménagement de terrains de jeu qui viennent ainsi à la rescousse de l'ancien jardin public, lequel attendu sa position au centre-ville draine tous ceux en quête d'un espace de détente, dont les retraités et les personnes âgées, qui s'y prélassent des heures durant. En attendant que tous ces chantiers soient enfin terminés et que chaque quartier de Baraki puisse enfin disposer d'une aire de jeu aménagée, les enfants se languissent déjà de leurs classes trouvant les vacances, à peine entamées, trop longues.