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Le parc d'attraction livré aux dégradations
Bordj Bou-Arreridj
Publié dans Le Midi Libre le 14 - 10 - 2010

Le parc d'attraction de Bordj Bou-Arréridj, propriété de la commune, est abandonné et livré aux dégradations et aux intempéries depuis une trentaine d'années, a-t-on constaté. Le président de l'Assemblée populaire communale (APC), contacté par l'APS, affirme qu'un ''cahier des charges est en préparation'' et que "que toutes les initiatives seront prises en considération pour relancer les activités de ce parc''. De leur côté, les services de la wilaya, également contactés, soutiennent ''qu'aucune attention n'a été accordée par les élus locaux à cette infrastructure et à son matériel forain qui se trouve aujourd'hui rongé par la rouille, privant les familles d'un espace de détente et de loisirs''. Les mêmes services, révélant que ''plusieurs réunions ont récemment été présidées par le wali pour trouver une solution'', indiquent également, sans donner plus de précisions, qu'une ''issue pourrait être trouvée pour relancer les activités de ce parc grâce à un investisseur national connu dans le monde des affaires". Parfois loué à des commerçants pour servir de foire aux vêtements, l'enceinte est aujourd'hui un terrain vague de 16 hectares fréquenté par des délinquants qui l'ont transformée en espace peu recommandable, voire dangereux, en raison de l'insécurité qui y règne, en particulier à la nuit tombée. Le plus affligeant, s'indigne un citoyen de Bordj Bou-Arréridj, est que ce parc, construit à 2 km du centre du chef-lieu de wilaya, est ''un espace dénudé, sans verdure et sans âme'', alors qu'il aurait pu, à l'instar du parc d'attraction de Sétif, constituer une fierté pour la ville.
Le parc d'attraction de Bordj Bou-Arréridj, propriété de la commune, est abandonné et livré aux dégradations et aux intempéries depuis une trentaine d'années, a-t-on constaté. Le président de l'Assemblée populaire communale (APC), contacté par l'APS, affirme qu'un ''cahier des charges est en préparation'' et que "que toutes les initiatives seront prises en considération pour relancer les activités de ce parc''. De leur côté, les services de la wilaya, également contactés, soutiennent ''qu'aucune attention n'a été accordée par les élus locaux à cette infrastructure et à son matériel forain qui se trouve aujourd'hui rongé par la rouille, privant les familles d'un espace de détente et de loisirs''. Les mêmes services, révélant que ''plusieurs réunions ont récemment été présidées par le wali pour trouver une solution'', indiquent également, sans donner plus de précisions, qu'une ''issue pourrait être trouvée pour relancer les activités de ce parc grâce à un investisseur national connu dans le monde des affaires". Parfois loué à des commerçants pour servir de foire aux vêtements, l'enceinte est aujourd'hui un terrain vague de 16 hectares fréquenté par des délinquants qui l'ont transformée en espace peu recommandable, voire dangereux, en raison de l'insécurité qui y règne, en particulier à la nuit tombée. Le plus affligeant, s'indigne un citoyen de Bordj Bou-Arréridj, est que ce parc, construit à 2 km du centre du chef-lieu de wilaya, est ''un espace dénudé, sans verdure et sans âme'', alors qu'il aurait pu, à l'instar du parc d'attraction de Sétif, constituer une fierté pour la ville.

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