Durant la journée de clôture de cet évènement désormais traditionnel plusieurs conférences ont été animées par des experts, ayant particulièrement trait aux ressources hydriques et à l'irrigation dans l'agriculture moderne dominée par la mécanisation et la fertilisation à outrance pour de meilleurs rendements à l'hectare. Durant la journée de clôture de cet évènement désormais traditionnel plusieurs conférences ont été animées par des experts, ayant particulièrement trait aux ressources hydriques et à l'irrigation dans l'agriculture moderne dominée par la mécanisation et la fertilisation à outrance pour de meilleurs rendements à l'hectare. Le Salon international de l'agriculture Afro Expo 2010 a été riche en enseignements et en conférences et débats entre les professionnels et les différents participants qui ont pu s'imprégner, non seulement des potentialités agricoles de l'Algérie, mais également de celles des pays européens, tels que l'Espagne et la France. L'échange d'informations et de données, ainsi que le transfert de savoir-faire et de technologies ont été au centre de l'intérêt des exposants et des opérateurs économiques en quête de partenariat. En termes de partenariat et de coopération, des contacts importants et des relations d'affaire ont été parmi les principales préoccupations des 176 participants, dont 84 firmes étrangères (France, Espagne et Chine). Durant la journée de clôture de cet évènement désormais traditionnel et prenant de plus en plus de l'ampleur et de notoriété internationale, plusieurs conférences ont été animées par des experts ayant particulièrement trait aux ressources hydriques et à l'irrigation dans l'agriculture moderne dominée par la mécanisation et la fertilisation à outrance pour de meilleurs rendements à l'hectare. Ainsi, le forum sur l'eau et l'agriculture a disséqué la problématique du manque d'eau en Algérie où l'accent a été surtout mis sur l'utilisation rationnelle des techniques d'irrigation. Les exposants espagnols spécialisés dans le domaine de l'irrigation goutte-à-goutte ont été présents en force durant cette manifestation économique et commerciale. Même le secteur de la phoeniciculture a été décortiqué puisque un conférencier a présenté le système de pilotage sur les palmiers dattiers."Je ne m'acharnerai pas comme certains techniciens qui continuent à croire que c'est en mettant un maximum de moyens et d'instruments que nous allons atteindre et rivaliser des niveaux de rendement escomptés comme on les voit ailleurs, mais plutôt cela passe par une sensibilisation et une meilleure valorisation de ces moyens. Aujourd'hui, l'Algérie a des moyens que d'autres pays qui arrivent à réaliser de meilleurs rendements que nous n'en ont pas", a notamment déclaré, avant-hier, en marge du forum interprofessionnel portant sur la santé et la nutrition végétale dont le thème central est inhérent aux contraintes et à la fertilisation des céréales en Algérie, Abderazak Khedim, responsable technique et du développement à TIMAC et chercheur à l'Institut national d'agronomie. Il n'a pas manqué de mettre en évidence l'importance des types d'engrais actuellement utilisés en Algérie, alors que certains sont carrément des matières premières que les plantes ne peuvent pas absorber. Il s'agit plutôt, dit-il, de les rentabiliser en utilisant des intrants adéquats et protégés sans pour autant citer des noms commerciaux, car, ajoute-t-il, les sols méditerranéens sont contraignants. "Les méthodes de fertilisation en vigueur actuellement ne sont pas suffisamment valorisées. Car les fertilisations qui sont valables ailleurs ne sont pas automatiquement valables chez nous", a t-il souligné.Les conditions climatiques ne sont pas, bien entendu, identiques, d'où l'expert insiste sur les particularités de chaque zone, en mettant l'accent sur les microzones en Algérie. La bande allant de Sétif jusqu'au nord constantinois constitue, selon l'expert, une zone spécifique qui nécessite une fertilisation adéquate. C'est pourquoi il parle de contraintes liées aux changements climatiques, de pluviométrie non constante et de la nature des sols semi-arides. L'émergence de nouvelles techniques de fertilisation mises, actuellement, sur le marché se pose en termes de valorisation et de vulgarisation pour atteindre les objectifs fixés par le secteur dans le cadre du plan quinquennal 2010-2014. . Le Salon international de l'agriculture Afro Expo 2010 a été riche en enseignements et en conférences et débats entre les professionnels et les différents participants qui ont pu s'imprégner, non seulement des potentialités agricoles de l'Algérie, mais également de celles des pays européens, tels que l'Espagne et la France. L'échange d'informations et de données, ainsi que le transfert de savoir-faire et de technologies ont été au centre de l'intérêt des exposants et des opérateurs économiques en quête de partenariat. En termes de partenariat et de coopération, des contacts importants et des relations d'affaire ont été parmi les principales préoccupations des 176 participants, dont 84 firmes étrangères (France, Espagne et Chine). Durant la journée de clôture de cet évènement désormais traditionnel et prenant de plus en plus de l'ampleur et de notoriété internationale, plusieurs conférences ont été animées par des experts ayant particulièrement trait aux ressources hydriques et à l'irrigation dans l'agriculture moderne dominée par la mécanisation et la fertilisation à outrance pour de meilleurs rendements à l'hectare. Ainsi, le forum sur l'eau et l'agriculture a disséqué la problématique du manque d'eau en Algérie où l'accent a été surtout mis sur l'utilisation rationnelle des techniques d'irrigation. Les exposants espagnols spécialisés dans le domaine de l'irrigation goutte-à-goutte ont été présents en force durant cette manifestation économique et commerciale. Même le secteur de la phoeniciculture a été décortiqué puisque un conférencier a présenté le système de pilotage sur les palmiers dattiers."Je ne m'acharnerai pas comme certains techniciens qui continuent à croire que c'est en mettant un maximum de moyens et d'instruments que nous allons atteindre et rivaliser des niveaux de rendement escomptés comme on les voit ailleurs, mais plutôt cela passe par une sensibilisation et une meilleure valorisation de ces moyens. Aujourd'hui, l'Algérie a des moyens que d'autres pays qui arrivent à réaliser de meilleurs rendements que nous n'en ont pas", a notamment déclaré, avant-hier, en marge du forum interprofessionnel portant sur la santé et la nutrition végétale dont le thème central est inhérent aux contraintes et à la fertilisation des céréales en Algérie, Abderazak Khedim, responsable technique et du développement à TIMAC et chercheur à l'Institut national d'agronomie. Il n'a pas manqué de mettre en évidence l'importance des types d'engrais actuellement utilisés en Algérie, alors que certains sont carrément des matières premières que les plantes ne peuvent pas absorber. Il s'agit plutôt, dit-il, de les rentabiliser en utilisant des intrants adéquats et protégés sans pour autant citer des noms commerciaux, car, ajoute-t-il, les sols méditerranéens sont contraignants. "Les méthodes de fertilisation en vigueur actuellement ne sont pas suffisamment valorisées. Car les fertilisations qui sont valables ailleurs ne sont pas automatiquement valables chez nous", a t-il souligné.Les conditions climatiques ne sont pas, bien entendu, identiques, d'où l'expert insiste sur les particularités de chaque zone, en mettant l'accent sur les microzones en Algérie. La bande allant de Sétif jusqu'au nord constantinois constitue, selon l'expert, une zone spécifique qui nécessite une fertilisation adéquate. C'est pourquoi il parle de contraintes liées aux changements climatiques, de pluviométrie non constante et de la nature des sols semi-arides. L'émergence de nouvelles techniques de fertilisation mises, actuellement, sur le marché se pose en termes de valorisation et de vulgarisation pour atteindre les objectifs fixés par le secteur dans le cadre du plan quinquennal 2010-2014. .