«Toutes les mesures ont été prises pour débloquer, dans les meilleurs délais, le déchargement des containers de poudre de lait au niveau du port d'Alger» a déclaré, hier, le président de l'Union nationale des paysans algériens (UNPA), Mohamed Alioui, en marge du salon international de l'agriculture ''Agro Expo 2010'', inauguré par le secrétaire général du ministère de l'Agriculture et du Développement rural, Sid-Ahmed Ferroukhi, en présence du secrétaire général du ministère du Commerce et de l'ambassadeur du Mexique à Alger. «Toutes les mesures ont été prises pour débloquer, dans les meilleurs délais, le déchargement des containers de poudre de lait au niveau du port d'Alger» a déclaré, hier, le président de l'Union nationale des paysans algériens (UNPA), Mohamed Alioui, en marge du salon international de l'agriculture ''Agro Expo 2010'', inauguré par le secrétaire général du ministère de l'Agriculture et du Développement rural, Sid-Ahmed Ferroukhi, en présence du secrétaire général du ministère du Commerce et de l'ambassadeur du Mexique à Alger. Faut-il souligner que le nouveau dispositif, initié pour l‘année 2011, entre dans le cadre de la production et la distribution de lait pasteurisé conditionné en sachets plastiques polyéthylène et vendu aux consommateurs à un prix administré de 25 DA le litre. Le dispositif Onil, communiqué à l‘ensemble des laiteries publiques et privées, pour lequel l‘adhésion est volontaire, porte sur un volume annuel de 1,5 milliard de litres en fonction de la répartition géographique régionale prédéfinie en rapport des besoins de la population. Selon cette nouvelle législation, les laiteries intéressées devront justifier de leur qualité de transformateurs laitiers ( registre du commerce, agrément sanitaire vétérinaire...) et fournir un certain nombre d‘informations sur leurs capacités de transformation et de distribution, mais aussi de collecte de lait cru de production nationale. «Cette relation de partenariat entre l‘Onil et les laiteries se traduira pour le premier par la mise à disposition de la poudre de lait, et pour le second, par la fabrication de la quantité de lait correspondante et sa distribution dans les zones qui lui auront été affectées», indique le ministère de l‘Agriculture dans un communiqué distribué à la presse. La question de la cherté de la pomme de terre s‘explique, selon Alioui, par les conditions atmosphériques du fait des intempéries rendant difficile l‘accès aux champs cultivés. Pour sa part, le secrétaire général du ministère de l‘Agriculture et du Développement rural, a indiqué " qu‘il devient impérieux d‘encourager les rencontres avec les opérateurs économiques afin de s‘enquérir des préoccupations et des besoins techniques des producteurs. Nous avons encouragé le Programme national de développement agricole et du renouveau rural (PNDRA) à travers l‘initiative de créer une synergie entre les acteurs et mobiliser les différents acteurs économiques de l‘agroalimentaire et les fournisseurs de services et d‘intrants ". Autrement dit, il s‘agit de moderniser l‘agriculture et les filières agricoles par le biais d‘une stratégie incluse dans le Programme quinquennal 2010-2014 avec comme objectif principal d‘appuyer la modernisation des différentes filières agricoles en les dotant d‘un système de mécanisation adéquat et adapté. Aussi, il y a lieu d‘encourager l‘amont agricole et l‘intégration des filières de large consommation, tels que le lait, les céréales et la pomme de terre. Les autorités en charge du développement de l‘agriculture estiment également que l‘objectif principal vise les filières oléicoles dont la plantation de 14 millions d‘oliviers devra se traduire par l‘accroissement significatif de la production de l‘huile d‘olive destinée pour la consommation locale et pour l‘exportation. Cependant, les semences et l‘utilisation des eaux irriguées sont des piliers de l‘agriculture permettant aux fellahs d‘augmenter la production végétale. Le machinisme agricole en exergue Cette importante manifestation économique et commerciale est riche en conférences et en communications scientifiques et techniques puisque la journée d'aujourd'hui sera dominée par l'animation du Forum interprofessionnel du machinisme et de l'équipement agricole ''Fimag''. En effet, d'intéressantes conférences seront développées, tels que les thèmes inhérents au dévéeloppement des industries de la machine agricole, la mécanisation dans le programme du renouveau de l'économie agricole, l'automatisation du semis, ou encore la mise en place des céréales, les différents modes de semis et leur impact, la mécanisation du palmier dattier et des travaux oléicoles... Lors de cette journée, les participants, les opérateurs économiques et les experts assisteront également aux communications ayant trait à la présentation de Tassili agro-aérien sachant que l'agriculture joue un rôle très important dans la production agricole (les produits sont de meilleure qualité et biologiques) et la contribution des assurances agricoles dans le développement de la politique agricole et le renouveau rural. 5% de superfices agricoles irriguées Dans une synthèse faite par la fondation '' Filaha Innove '' concernant l'eau et l'agriculture et la problématique de l'irrigation, elle indique que " l'agriculture n'occupe actuellement que 5 à 7 % des surfaces cultivées, mais il s'agit d'un rôle économique important dans la mesure où elle représente prés de 50 % de la valeur ajoutée agricole du pays ". La part du secteur public est faible sachant que les grands périmètres irrigués représentent environ 15 % des superficies irriguées, soit près de 120.000 hectares sur 700.000 à 800.000 hectares. S'agissant du secteur privé, Filaha Innove souligne " qu'il est à l'origine d'une part essentielle de production agricole irriguée. Toutefois, cette production reste faible au regard des besoins du pays du fait, principalement, du manque d'eau disponible. Aussi, en dépit, du déficit des ressources en eau subi, ces dernières années, le gouvernement affiche la volonté de poursuivre l'accroissement des superficies irriguées ". La Fondation précise que " les objectifs retenus dans les plans nationaux de développement agricole portent, ainsi, le total des superficies équipées à 1 million d'hectares aux horizons 2015-2020 ". Faut-il souligner que le nouveau dispositif, initié pour l‘année 2011, entre dans le cadre de la production et la distribution de lait pasteurisé conditionné en sachets plastiques polyéthylène et vendu aux consommateurs à un prix administré de 25 DA le litre. Le dispositif Onil, communiqué à l‘ensemble des laiteries publiques et privées, pour lequel l‘adhésion est volontaire, porte sur un volume annuel de 1,5 milliard de litres en fonction de la répartition géographique régionale prédéfinie en rapport des besoins de la population. Selon cette nouvelle législation, les laiteries intéressées devront justifier de leur qualité de transformateurs laitiers ( registre du commerce, agrément sanitaire vétérinaire...) et fournir un certain nombre d‘informations sur leurs capacités de transformation et de distribution, mais aussi de collecte de lait cru de production nationale. «Cette relation de partenariat entre l‘Onil et les laiteries se traduira pour le premier par la mise à disposition de la poudre de lait, et pour le second, par la fabrication de la quantité de lait correspondante et sa distribution dans les zones qui lui auront été affectées», indique le ministère de l‘Agriculture dans un communiqué distribué à la presse. La question de la cherté de la pomme de terre s‘explique, selon Alioui, par les conditions atmosphériques du fait des intempéries rendant difficile l‘accès aux champs cultivés. Pour sa part, le secrétaire général du ministère de l‘Agriculture et du Développement rural, a indiqué " qu‘il devient impérieux d‘encourager les rencontres avec les opérateurs économiques afin de s‘enquérir des préoccupations et des besoins techniques des producteurs. Nous avons encouragé le Programme national de développement agricole et du renouveau rural (PNDRA) à travers l‘initiative de créer une synergie entre les acteurs et mobiliser les différents acteurs économiques de l‘agroalimentaire et les fournisseurs de services et d‘intrants ". Autrement dit, il s‘agit de moderniser l‘agriculture et les filières agricoles par le biais d‘une stratégie incluse dans le Programme quinquennal 2010-2014 avec comme objectif principal d‘appuyer la modernisation des différentes filières agricoles en les dotant d‘un système de mécanisation adéquat et adapté. Aussi, il y a lieu d‘encourager l‘amont agricole et l‘intégration des filières de large consommation, tels que le lait, les céréales et la pomme de terre. Les autorités en charge du développement de l‘agriculture estiment également que l‘objectif principal vise les filières oléicoles dont la plantation de 14 millions d‘oliviers devra se traduire par l‘accroissement significatif de la production de l‘huile d‘olive destinée pour la consommation locale et pour l‘exportation. Cependant, les semences et l‘utilisation des eaux irriguées sont des piliers de l‘agriculture permettant aux fellahs d‘augmenter la production végétale. Le machinisme agricole en exergue Cette importante manifestation économique et commerciale est riche en conférences et en communications scientifiques et techniques puisque la journée d'aujourd'hui sera dominée par l'animation du Forum interprofessionnel du machinisme et de l'équipement agricole ''Fimag''. En effet, d'intéressantes conférences seront développées, tels que les thèmes inhérents au dévéeloppement des industries de la machine agricole, la mécanisation dans le programme du renouveau de l'économie agricole, l'automatisation du semis, ou encore la mise en place des céréales, les différents modes de semis et leur impact, la mécanisation du palmier dattier et des travaux oléicoles... Lors de cette journée, les participants, les opérateurs économiques et les experts assisteront également aux communications ayant trait à la présentation de Tassili agro-aérien sachant que l'agriculture joue un rôle très important dans la production agricole (les produits sont de meilleure qualité et biologiques) et la contribution des assurances agricoles dans le développement de la politique agricole et le renouveau rural. 5% de superfices agricoles irriguées Dans une synthèse faite par la fondation '' Filaha Innove '' concernant l'eau et l'agriculture et la problématique de l'irrigation, elle indique que " l'agriculture n'occupe actuellement que 5 à 7 % des surfaces cultivées, mais il s'agit d'un rôle économique important dans la mesure où elle représente prés de 50 % de la valeur ajoutée agricole du pays ". La part du secteur public est faible sachant que les grands périmètres irrigués représentent environ 15 % des superficies irriguées, soit près de 120.000 hectares sur 700.000 à 800.000 hectares. S'agissant du secteur privé, Filaha Innove souligne " qu'il est à l'origine d'une part essentielle de production agricole irriguée. Toutefois, cette production reste faible au regard des besoins du pays du fait, principalement, du manque d'eau disponible. Aussi, en dépit, du déficit des ressources en eau subi, ces dernières années, le gouvernement affiche la volonté de poursuivre l'accroissement des superficies irriguées ". La Fondation précise que " les objectifs retenus dans les plans nationaux de développement agricole portent, ainsi, le total des superficies équipées à 1 million d'hectares aux horizons 2015-2020 ".