Le ministre des Affaires religieuses et des Waqfs est revenu sur les péripéties qui ont émaillé la saison du Hadj qui vient de s'achever, en imputant, en partie, la responsabilité des désagréments causés aux hadjis algériens aux deux agences de tourisme accréditées, à savoir l'Office national du tourisme (Onat) et le Touring club d'Algérie (TCA). Le ministre des Affaires religieuses et des Waqfs est revenu sur les péripéties qui ont émaillé la saison du Hadj qui vient de s'achever, en imputant, en partie, la responsabilité des désagréments causés aux hadjis algériens aux deux agences de tourisme accréditées, à savoir l'Office national du tourisme (Onat) et le Touring club d'Algérie (TCA). «Il s'est avéré que le plan de charge assigné à l'Onat et au TCA dépasse largement leurs moyens limités », a déclaré Bouabdallah Ghlamallah, hier, sur les ondes de la Chaîne III de la Radio nationale. En effet, les deux agences se sont vu confier la prise en charge de 14.000 hadjis, à raison de 7.000 chacune, mais la situation a été des plus défaillantes de l'aveu des concernés eux-mêmes. « La commission de suivi et de contrôle va se réunir et donner son rapport incessamment », a ajouté le ministre, laissant entendre que les responsabilités de ces dysfonctionnements seront définies pour qu'elles ne puissent plus se reproduire lors des prochaines saisons. Sinon, « les conditions étaient acceptables et les hadjis ont été bien accueillis et hébergés», a-t-il indiqué, non sans pointer du doigt le comportement de certains hadjis. « On manque énormément de culture religieuse et de compréhension », a expliqué Bouabdallah Ghlamallah, en évoquant l'état physique et intellectuel de certains pèlerins, et les agissements de certains autres qui n'hésitent pas à falsifier des documents médicaux pour aller à la Mecque. Par ailleurs, le ministre des Affaires religieuses et des Waqfs s'est prononcé sur le Fonds de la Zakat qui a atteint cette année 94 milliards de centimes. « Tout le monde peut accéder à ce fonds », a-t-il fait savoir, tout en affirmant que les familles nécessiteuses bénéficient deux fois par an d'une allocution de 6.000 DA. « L'argent de ce fonds est intégralement distribué aux jeunes porteurs de projets », a-t-il encore ajouté, faisant savoir que « 3.000 projets ont été réalisés à ce jour dans le cadre de ce fonds ». Pour cette année, les premiers crédits seront octroyés dès la semaine prochaine dans la wilaya d'Aïn Defla, a annoncé l'invité de la Radio. En outre, Bouabdallah Ghlamallah a indiqué que la formation des imams se poursuit, annonçant qu'une cinquantaine d'entre eux est en formation à Al Azhar, en plus des regroupements techniques et culturels encadrés par le ministère et organisés chaque semaine dans diverses wilayas du pays. «Nous sommes en train de penser à une génération d'imams cultivés pour éclairer la société et la sensibiliser sur les phénomènes et les fléaux », a soutenu le ministre des Affaires religieuses. «Il s'est avéré que le plan de charge assigné à l'Onat et au TCA dépasse largement leurs moyens limités », a déclaré Bouabdallah Ghlamallah, hier, sur les ondes de la Chaîne III de la Radio nationale. En effet, les deux agences se sont vu confier la prise en charge de 14.000 hadjis, à raison de 7.000 chacune, mais la situation a été des plus défaillantes de l'aveu des concernés eux-mêmes. « La commission de suivi et de contrôle va se réunir et donner son rapport incessamment », a ajouté le ministre, laissant entendre que les responsabilités de ces dysfonctionnements seront définies pour qu'elles ne puissent plus se reproduire lors des prochaines saisons. Sinon, « les conditions étaient acceptables et les hadjis ont été bien accueillis et hébergés», a-t-il indiqué, non sans pointer du doigt le comportement de certains hadjis. « On manque énormément de culture religieuse et de compréhension », a expliqué Bouabdallah Ghlamallah, en évoquant l'état physique et intellectuel de certains pèlerins, et les agissements de certains autres qui n'hésitent pas à falsifier des documents médicaux pour aller à la Mecque. Par ailleurs, le ministre des Affaires religieuses et des Waqfs s'est prononcé sur le Fonds de la Zakat qui a atteint cette année 94 milliards de centimes. « Tout le monde peut accéder à ce fonds », a-t-il fait savoir, tout en affirmant que les familles nécessiteuses bénéficient deux fois par an d'une allocution de 6.000 DA. « L'argent de ce fonds est intégralement distribué aux jeunes porteurs de projets », a-t-il encore ajouté, faisant savoir que « 3.000 projets ont été réalisés à ce jour dans le cadre de ce fonds ». Pour cette année, les premiers crédits seront octroyés dès la semaine prochaine dans la wilaya d'Aïn Defla, a annoncé l'invité de la Radio. En outre, Bouabdallah Ghlamallah a indiqué que la formation des imams se poursuit, annonçant qu'une cinquantaine d'entre eux est en formation à Al Azhar, en plus des regroupements techniques et culturels encadrés par le ministère et organisés chaque semaine dans diverses wilayas du pays. «Nous sommes en train de penser à une génération d'imams cultivés pour éclairer la société et la sensibiliser sur les phénomènes et les fléaux », a soutenu le ministre des Affaires religieuses.