Le ministre des Finances, Karim Djoudi, a affirmé hier que les banques seront plus impliquées dans le financement des dispositifs de soutien des jeunes à la faveur de la dernière mesure décidée par le Conseil des ministres, qui a imposé aux banques de financer les projets validés par des délégations régionales sous l'autorité des walis. Intervenant en marge de l'ouverture de la session de printemps de l'Assemblée populaire nationale (APN), Djoudi a déclaré que les banques, dont «les autorisations de financement de ces dispositifs ont été multipliées par trois et les crédits par deux fois et demi entre 2008 et 2010» seront donc de plus en plus engagées dans le financement des petits projets créateurs d'emplois. Il a, en outre, indiqué que les financements bancaires des programmes de soutien à l'emploi sont actuellement de l'ordre de 260 milliards DA et portent sur 300.000 dossiers. Le ministre a, tout en rappelant qu'une enveloppe additionnelle de plus de 180 milliards DA a été consacrée au soutien de l'emploi et à la solidarité, évoqué les principales mesures incitatives pour l'investissement et l'emploi, à l'image du renforcement des Fonds de garantie dont les capitaux ont été doublés, passant à 41 milliards DA, de la facilitation de l'octroi des locaux aux jeunes, outre des avantages fiscaux pour cette frange de la société. Par ailleurs, Djoudi a, concernant la suspension de l'utilisation des factures et des chèques pour les montants dépassant 500.000 DA, souligné que «le président de la République a souhaité qu'il y ait une meilleure compréhension et une prise de conscience de l'utilité des instruments de paiement au profit de ceux qui vont les utiliser». Pour rappel, le Conseil des ministres, réuni le 22 février dernier, sous la présidence du chef de l'Etat, a annoncé plusieurs mesures en faveur de l'économie nationale, autant dans le domaine financier et bancaire que pour l'investissement des entreprises et l'emploi. A. B. Le ministre des Finances, Karim Djoudi, a affirmé hier que les banques seront plus impliquées dans le financement des dispositifs de soutien des jeunes à la faveur de la dernière mesure décidée par le Conseil des ministres, qui a imposé aux banques de financer les projets validés par des délégations régionales sous l'autorité des walis. Intervenant en marge de l'ouverture de la session de printemps de l'Assemblée populaire nationale (APN), Djoudi a déclaré que les banques, dont «les autorisations de financement de ces dispositifs ont été multipliées par trois et les crédits par deux fois et demi entre 2008 et 2010» seront donc de plus en plus engagées dans le financement des petits projets créateurs d'emplois. Il a, en outre, indiqué que les financements bancaires des programmes de soutien à l'emploi sont actuellement de l'ordre de 260 milliards DA et portent sur 300.000 dossiers. Le ministre a, tout en rappelant qu'une enveloppe additionnelle de plus de 180 milliards DA a été consacrée au soutien de l'emploi et à la solidarité, évoqué les principales mesures incitatives pour l'investissement et l'emploi, à l'image du renforcement des Fonds de garantie dont les capitaux ont été doublés, passant à 41 milliards DA, de la facilitation de l'octroi des locaux aux jeunes, outre des avantages fiscaux pour cette frange de la société. Par ailleurs, Djoudi a, concernant la suspension de l'utilisation des factures et des chèques pour les montants dépassant 500.000 DA, souligné que «le président de la République a souhaité qu'il y ait une meilleure compréhension et une prise de conscience de l'utilité des instruments de paiement au profit de ceux qui vont les utiliser». Pour rappel, le Conseil des ministres, réuni le 22 février dernier, sous la présidence du chef de l'Etat, a annoncé plusieurs mesures en faveur de l'économie nationale, autant dans le domaine financier et bancaire que pour l'investissement des entreprises et l'emploi. A. B.